Ce (gros) roman français nous emporte dans la Seconde Guerre Mondiale, avec le personnage d’Erika, jeune femme passionnée de livres qui va devenir un rouage essentiel du rapt organisé et [...]
Flore Vesco revisite avec brio le célèbre conte du Joueur de flûte d'Hamelin !
Le texte se veut moyenâgeux et, passé la surprise des premières pages, nous entraîne complètement dans l’époque [...]
Un livre à ne pas rater, qu'on soit ado ou pas ! C'est un roman plein de sensibilité sur les relations et les interactions entre l'Homme et la nature, mais [...]
J'ai découvert ce livre totalement par hasard dans un rayon de la médiathèque et j'avoue avoir été agréablement surprise.
Le roman est de très bonne qualité, l'intrigue aussi, on est vite [...]
A la fin de "Et je danse aussi", notre duo de personnages étaient sur le point de se rencontrer pour la première fois, après des mois assidus de correspondance. On [...]
“Hôtel Castellana”, c’est la rencontre entre deux mondes que tout oppose, celui de Daniel et Ana. Nous sommes en 1957, alors que l’Espagne est sous la coupe de Francisco Franco. [...]
J'ai été sous le charme du dessin de cette bande dessinée, dont le propos est de nous faire réfléchir sur notre mode de vie et ces conséquences sur l'avenir de la planète.
Ce tome 2 de Catamount propose un western à l'ancienne, superbement mis en image par Benjamin Blasco-Martinez. Les amateurs du genre ne devrait pas bouder leur plaisir !
Bon roman de Grangé mais qui met énormément de temps avant de réellement captivé le lecteur, j'avoue que pour ne pas arrêter de lire le livre, j'ai sauté quelques pages.
Hormis quelques longueurs, le roman est assez bon, bien écrit et prenant. Les personnages sont bien exploités même si à la fin du livre, j'aurais aimé en savoir encore un peu plus sur toute cette histoire.
A lire à l'occasion et surtout ne pas lâcher l'affaire même si ça paraît trop long, une fois que l'histoire devient interessante, ça tient en haleine jusqu'à la fin.
Ayant adoré la série adaptée de ce roman de James Patterson, j'ai décidé de le lire mais je dois avouer que je suis un peu déçue.
Le livre est beaucoup moins prenant que la série, certes il y a des différences mais ce n'est pas cela le plus gênant. Le plus gênant est que l'action est très raccourcie dans le roman, on saute plusieurs années en quelques pages et je trouve que la fin a quelque chose d'inachevé. On arrive à la fin en se disant "ça fini comme ça, il n'y a pas de suite ?" et je trouve ça très frustrant. Les personnages ne sont pas assez développés je trouve, j'ai eu du mal à m'attacher à eux ou à ce qu'ils vivaient. Il manquait vraiment quelque chose et c'est dommage.
Ce livre est génial pour commencer à s'initier au zéro déchet. Très imagé, très facile à lire, assez humoristique et rempli de recettes, c'est vraiment THE guide pour débuter quand on y connaît rien du tout !
Il faut vraiment le lire.
Je cherchais à lire ce livre depuis longtemps et je suis ravie d'avoir pu le faire. Je souhaitais surtout lire la première histoire de ce roman qui en compte 4 (une par saison) et qui s'intitule "Rita Hayworth et la Rédemption de Shawshank".
Cette nouvelle a inspiré le chef-d'oeuvre du cinéma "Les Évadés" et je dois avouer que j’ai été scotchée de voir à quel point le livre a été exploité pour faire le film. En effet, cette histoire ne fait que 147 pages mais c'est tellement bien raconté qu'on est totalement prit dedans. On ressent tout ce qu'ont pu ressentir les personnages, qu'il s'agisse d'Andy ou de Red. Absolument magnifique.
Les autre nouvelles sont bien aussi mais je ne peux pas les mettre au même niveau.
A lire pour les fans de Stephen King, vous ne serez pas déçus.
Certainement l'un des plus célèbres et meilleur roman de Stephen King qui est vraiment le maître en matière de roman d'horreur. Tout y est, une ambiance glauque qui plonge le lecteur dans l'ambiance, des personnages étranges, et une famille pour qui on a de l'empathie.
Un très bon cocktail pour une histoire excellente.
J'adore Dan Brown, en particulier la saga de Robert Langdon que j'ai littéralement dévoré, en revanche j'étais plus septique sur Forteresse Digitale. Mais je dois avouer que j'ai été agréablement surprise car j'ai été prise dans cette histoire malgré le fait que ce genre ne soit pas ma tasse de thé habituellement. Dan Brown a une manière d'écrire qui fait entrer le lecteur dans l'histoire, à tel point qu'on est en total osmose avec les différents personnages. Ces derniers sont d'ailleurs bien travaillés et très intéressants. Un très bon roman.
Ayant vu et apprécié le film qui a été inspiré par ce livre, j'avais très envie de pouvoir lire l'oeuvre originale de Matt Baglio. Et je dois avouer que malgré la qualité du livre, du témoignage de ce prête qui se forme à l'exorcisme, j'ai eu une pointe de déception. Le film est très différent du livre, là c'est beaucoup plus dans l'explication du rite de l’exorcisme en lui-même, la démystification du rituel qu peut paraître très moyenâgeux aujourd’hui. Le témoignage du père Gary sur ce qu'il a vécu et surtout vu lors des séances d'exorcisme auxquelles il a assisté est passionnant à lire mais il y a tout de même beaucoup de longueurs dans ce livre qui font qu'on peut rapidement lâcher l'affaire si on est pas réellement intéressé. Un livre à lire si le sujet vous intéresse.
Satoru est contraint de revivre une période jusqu'à ce qu'il puisse en provoquer le bon déroulement. Cela lui permettra de se mesurer, malgré lui, à un tueur en série particulièrement prévoyant, qui organise ses crimes de manière à faire accuser des innocents. Au premier regard, il s'agit d'un des mangas les plus mal dessinés qu'on ait pu voir, mais cela vaut largement la peine de s'accrocher !
Pour faire simple, ça ressemble à ce groupe dont tout le monde ne connait que deux titres. Y en a un qui fait "tin... tin, tin, tin..., tin, tin,tin...". Mais si, c'était la B.O. de ce film où un boxeur devient un héro en boxant...
Et bien Night Flight Orchestra fait la même soupe et ça marche... Allez comprendre ?!
Il semble loin le temps des albums "Night of the stormrider", "Dark Saga" ou encore "Horror Show". Certes, Matt Barlow n'est plus au chant mais Stu Block le remplace avec brio... En fait, ce n'est pas une histoire de chanteur qui provoque un vent de nostalgie en écoutant ce dernier album d'Iced Earth. C'est plutôt une impression viscérale,... comment dire ?... la flamme n'y est plus ?... plutôt, la flamme est devenue flammèche ! C'est ça ! C'est un bon album, très classique pour le groupe, carré, propre, bien produit, les guitares fuzzent, la batterie matraque, tout est à sa place,... trop à sa place. On est peu surpris.
Même si le côté volontairement suranné de la pochette prête à sourire, il faut passer outre et se plonger sans réserve dans cet album capable de toucher un public beaucoup plus large que le rayon "Rock, hard-rock et affiliés" dans lequel il est rangé.
L'influence des pionniers du genre - Black Sabbath en premier lieu mais aussi Blue Öyster Cult ou même UFO - est indéniable, mais Lucifer distille un savant mélange hard-rock / heavy-metal d'une grande sobriété, à l'image du choix du titre de l'album "Lucifer II"... On fait guère plus simple :). Faut-il y voir un clin d’œil à Danzig et ses albums Danzig I, II, II, etc ?! Après tout, les thèmes sombres et la lenteur de certains tempos semble aussi évoquer ce groupe.
Bref, Lucifer est un condensé du hard-rock-heavy-metal des années 60-70 avec une qualité de production contemporaine...
Funny, touching, dramatic.
Fortunately, you can get the sequel at the médiathèque.
I loved the first one but this one is just brilliant! You get even more intimate with the characters and can just love each one of them. I laughed and cried...
Dans la même veine que ces prédécesseurs, ce nouvel album de No One Is Innocent suit les habitudes du groupe : riffs lourds, textes engagés, chant énergique, etc. Les puristes (comprendre : les fans de la périodes fusion/hardcore de No One) seront déçus : les touches d'électro sont trop petites, les mélodies couvrent les rythmes,... on tend vers du rock. Mais cela reste brutal ! Il n'y a pas de doute : c'est bien du No One ! C'est frontal. On le prend en pleine face. Les oreilles bourdonnent et Kemar écrit toujours les textes au poignard plutôt qu'à la plume. Il se complait à les scander haut et fort de sorte à imprégner les esprits, à amorcer la révolte.
Voici le 5ème album des Canadiens de Kobra And The Lotus. S'il ne déchaîne pas les foules, il dénote par rapport aux autres productions du groupe par son équilibre entre heavy metal (étiquette officielle du groupe) et pop-rock. Paige Kobra mène son "band" avec brio en s'appuyant sur ses grandes capacités vocales. En fait un bon album pour découvrir ce groupe...
Je me faisais un plaisir d'aborder cette série, mais la déception était au rendez-vous : une histoire longuette, des descriptions et des scènes inutiles qui ne font pas avancer l'histoire, la magie qui intervient à tout bout de champs pour sauver l'héroïne de situations inextricables autrement : ça se lit, mais on frôle l'ingestion en souhaitant arriver à la fin plus vite. En plus, l'héroïne n'arrive pas à déclencher la sympathie, et les chevaux n'ont qu'un rôle très secondaire. Perso, je ne donne pas suite avec les prochains tomes.
Dans ce manga au dessin extraordinaire, les humains et les démons se haïssent, un seul contact avec ces derniers condamne n'importe qui à devenir démon à son tour ! Pourtant, l'un d'eux va prendre sous sa protection une petite fille...
Le dessin complète à merveille le propos, jouant énormément sur le contraste entre ombre et lumière, renforçant du même coup l'opposition humain/monstre. Une fable touchante et poétique, pleine de noirceur à découvrir !
Imbattable, c'est ce héros masqué et bedonnant qui épate par ses méthodes d'investigation. Et pour cause, le bonhomme utilise les codes de la bande dessinée pour sauter d'une case à l'autre, ou s'envoyer des missives depuis le bas de la page, ce qui lui donne toujours un temps d'avance sur les vilains qu'il poursuit !
Kasane, jeune fille à l'apparence repoussante, se voit léguer par sa mère un rouge à lèvres
aux pouvoirs particuliers, puisqu'il lui permet de subtiliser l'apparence d'autres personnes par le biais d'un simple baiser. Dès lors, ses rêves d'avenir (devenir une brillante comédienne au théâtre) semblent plus accessibles. Mais est-ce si simple ?
Kasane est un manga sombre et original, à l’histoire envoûtante, servi par des graphismes soignés : nul doute que la série s’annonce prometteuse. La réflexion que l’on retrouve sur la beauté est au cœur de l’intrigue et rend la psychologie des personnages d’autant plus intéressante !
On passe un très bon moment à suivre la descente aux enfers de ce jeune homme, prisonnier d'un plagiat dont les conséquences deviennent ingérables. Niney est impeccable. Quelques invraisemblances toutefois, car les décès qui surviennent au long du film ne résisteraient pas aux technologies actuelles d'analyse des scènes de crime. Mais bon...
Je veux bien que la police scientifique ait fait des progrès incontestables, mais franchement, trop, c'est trop... Le livre se lit facilement, mais tout cela tient plus des élucubrations littéraires que du reflet exact que pourrait suivre une affaire réelle, et c'est dommage ; en plus, une erreur concernant le sort du sac à dos jaune, initialement détruit, mais qui réapparaît curieusement en fin d'enquête... un peu décevant dans l'ensemble...
Toutes les 2 en vacances au bord de la mer, Mei, la parisienne et Charlotte la, cantalienne n'ont en commun que leur âge, 11ans, et le papier à lettres vendu par la boutique du village et qu'elle ont reçu en cadeau. Il n'en faut pas plus pour que la rencontre ait lieu et que l'amitié naisse. Une amitié qui une fois rentrée chez elles se poursuivra par lettre, sinon quoi faire de ce papier à lettre.
A l'heure où il semble impossible de vivre sans téléphone portable, l'amitié que tissent ces deux jeunes filles est belle et sincère. Elles partagent leur bonheur mais aussi les épreuves que la vie leur réserve. Une belle bande dessinées où l'on trouve parfois entre les planches les lettres échangées par les 2 amies.
Simple originale et sincère.
Je dois avouer que c'est un peu particulier à lire quand on a pas l'habitude, on jongle entre amour et passion décrite de manière assez crue. Mais plus l'histoire avance, plus j’ai l'impression de lire la même chose. Les scènes intimes sont presque toujours décrites de la même manière, avec les mêmes mots, et au final l'auteur s'est elle-même prise à son propre jeu et tourne en rond. A tel point que je trouve qu'on perd un peu du réalisme de l'histoire. Pour Anastasia, l'histoire étant racontée de son point de vue, je trouve intéressant de pouvoir lire ses pensés, même si elle n'utilise pas de mots pour les exprimer. Pour Christian en revanche c’est plus compliqué, on sent qu'il est torturé, avec un lourd passé, mais plus on en apprend sur lui, plus on arrive à s'attacher à lui.
L’histoire a une base assez classique au final, ce qui fait le succès de cette saga littéraire finalement c'est l'imagination du lecteur, ni plus, ni moins. L'auteur fait tout pour que celui qui lit le livre soit embarqué dans l'histoire. Le reste est, pour moi, uniquement là pour titiller l'imagination du lecteur et exciter sa curiosité. Un premier tome qui lance bien l'histoire mais avec quelques longueurs et beaucoup de répétitions.
Etant fan du film Bone Collector, qui est l'adaptation de ce livre, j'ai voulu lire le bouquin pour avoir un élément de comparaison et je n’ai pas été déçue. Malgré quelques petites différences l'histoire reste quasiment la même et c'est très agréable. Jeffery Deaver a une manière de décrire l'environnement dans lequel évoluent les personnages qui est vraiment remarquable. On est littéralement embarqué dans cette enquête dont on attend avec impatience le dénouement. Les personnages eux-aussi sont très bien exploités, et on parvient parfaitement à se mettre à leur place.
Un très bon thriller, prenant et plein de suspense.
Entre humour, cynisme et gouaille, un roman puissant sur l'Afrique contemporaine ainsi que sur la frénésie libérale et consumériste qui contamine le Monde !
Le temps est en pagaille dans "Booming", qui étrange ville perdue du fin fond de l'ouest américain, où rien n'est comme ailleurs ! Foutraque mais jubilatoire !
Vous regarderez d'un autre œil les corbeaux et les corneilles, après avoir lu ce récit angoissant, où le livre tout entier, de la typographie à la pagination, participe à l'ambiance !
Destins croisés de 3 femmes à un tournant de leurs vie : la mondialisation dans ce qu'elle a de meilleur, une chaîne d'espoir d'une vie meilleure pour 3 braves "guerrières" sans une once de sang sur les mains. Magnifique roman à l'écriture simple, directe, plein d'énergie positive et de bravoure .
Mélancolique et lyrique, Your Name fait preuve d'une diversité qui parvient à séduire tous les publics. A la fois chronique lycéenne, film catastrophe, autant que peinture des traditions japonaises ancestrales, le film a plus d'un atout dans sa manche : de la tendresse immédiate que l'on porte aux deux protagonistes, au soin apporté dans les différents décors et effets spéciaux, en passant par un scénario original (mention spéciale au retournement de situation que je n'ai pas vu venir !), chaque minute du film vaut le détour !
Bref, visuellement et émotionnellement, le film est d'une beauté comme j'en ai rarement vu. Une vraie réussite, à voir et à revoir !
L’adolescence peut rapidement être source d'angoisse. Mais Vania, 15 ans, a des raisons supplémentaires de se faire du soucis : un défaut physique, un prénom qui laisse à désirer, et un paternel des plus farfelu, ça ne rend pas le quotidien plus facile ! Heureusement, l’autodérision est reine dans ce roman, détournant ainsi les complexes, les souffrances et la différence que l’on peut ressentir à cet âge-là.
Vraie bouffée d’air frais abordant des sujets parfois douloureux, La fourmi rouge est un roman à ne vraiment pas rater !
Il peut s’en passer des choses pendant une manif’ ! Les slogans, les lacrymogènes et les protestations sont bien sûr au rendez-vous, mais aussi certaines rencontres, comme une évidence. Ainsi, sept personnages de tout âge et de tous horizons se rassemblent autour de leurs idées, révoltes et débats passionnés. Loin de la vision d’une jeunesse résignée et complètement apolitique, Marion Brunet dresse avec efficacité et espoir le portrait d’une époque pleine de désillusions.
Voici un roman lumineux et pourtant très sombre par certaines côtés. Un grand classique très beau que je recommande pour les amateurs de romans victoriens.
J'ai beaucoup ri à la lecture de cette album qui parlera beaucoup aux jeunes parents désemparés devant leur jeune enfant tout juste arrivé !
Derrière ce récit de bras cassés pathétiques qui rêvent de vivre les Sagas de leur ancêtre se cachent une sévère critique de la culture de la violence. Une lecture pas toujours facile et déconcertante, d'un grand auteur du XXeme siècle.
Un grand roman, à la fois âpre et solaire, sur la fierté du peuple islandais, et l'importance des livres pour cette nation. Une lecture ardue, mais magnifique.
Voici un essai d'une grande richesse, très facile à lire, qui aborde les fondements de la Sociologie, questionne ses limites et le rapport de classe entre ceux qui savent et ceux qui sont traditionnellement vus comme les dominés.
Sur un fond d'anecdotes issues de l'expérience de l'auteur, un bel hommage à l'enseignement de la littérature au lycée, avec l'espérance qu'elle peut changer la vie des jeunes gens et les faire réfléchir sur notre Monde !
Même si le graphisme est encore perfectible dans ces premiers albums de Valérian, on est frappé par le style incisif de Jean-Claude Mézières dont le sens de la composition est déjà saisissant !
Pour les amateurs d'ésotérisme et des mythes arthuriens, un essai étonnant et érudit sur les réminiscences modernes des rites chevaliers dans nos sociétés occidentales.
Superbe adaptation du Petit Chaperon rouge par Daniel Zezelj, onirique et sauvage, à découvrir absolument !
Je pense que ce tome est certainement un des meilleurs de la saga des Enquêtes du Département V. L'intrigue est très interessante mais le fait que plusieurs enquêtes s'entrecroisent, ainsi que les personnages, rend le tout encore plus addictif. Quand on commence, difficile de lâcher le livre. J'aime bien le fait qu'on nous parle un peu plus du personnage de Rose, de sa vie, de son passé, c'est très intéressant et ça aide à comprendre son comportement dans le présent. Les personnages sont toujours aussi bien exploités, avec leurs histoires propres. Une histoire assez moderne qui reflète assez bien la société actuelle.
Nouvel opus des aventures de Robert Langdon, et très bon roman de la part de Dan Brown. On est rapidement prit dans l'histoire, plus que dans le précédent tome, Le Symbole Perdu. Le thème revient là encore aux origines, avec la religion et la démystification des croyances. Le seul petit bémol, si il faut en trouver un, je dirais qu'on comprend assez vite que quelque chose cloche, et on arrive à comprendre ce qui se cache derrière la découverte d'Edmond Kirsch. Mais heureusement ça n'enlève rien à la qualité de l'écriture de Dan Brown.
Un très bon roman qui ne décevra pas les fans de cette saga littéraire.
On retrouve Pitocha et les Ogres de Barback avec grand plaisir. Enfants et parents vont danser, chanter et rêver.
La poursuite des aventures de Pitocha permet aux Ogres de Barback d'inviter d'autres amis musiciens sur cette expérience dédiée en premier lieu aux enfants mais qui au bout du compte réjouit toute la famille.
En 2003, les Ogres de Barback, groupe français auto-produit dont les membres sont quatre frères et sœurs, décident de dédier un album au jeune public.Ils vont pour l'occasion inviter plusieurs de leurs amis chanteurs et musiciens. C'est au travers de chansons poétiques et rythmées que les enfants et leurs parents découvrent l'histoire de Pitocha, ce petit garçon qui faute de pouvoir parler, dompte les bruits. Tout est réussi dans cette histoire, l'écriture du conte, sa mise en musique et le livre qui l'illustre. A consommer sans modération.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00