Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
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Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Anton Walbrook est un acteur autrichien, né Adolf Anton Wohlbrück, le à Vienne, mort le à Garatshausen (Bavière).
Après avoir fait de la figuration au temps du cinéma muet, Adolf Wohlbruck qui fut l'élève de Max Reinhardt à Berlin, entame le cinéma parlant avec un petit rôle dans Trapèze (E.A. Dupont, 1931), puis tourne sous la direction de Ludwig Berger et Raoul Ploquin dans La Guerre des valses (1933) et dans Mascarade de Willi Forst (1934), mais il se révèle véritablement au grand public en 1935, en jouant dans les versions allemande, américaine et française de Michel Strogoff (Richard Eichberg et Jacques de Baroncelli). Juif, il fuit le régime nazi et se réfugie, lors de l'Anschluss, en Grande-Bretagne où il anglicise son nom en Anton Walbrook. Devenu un acteur reconnu et populaire, il tourne dès lors dans quelques grandes productions d'époque, incarnant notamment le Prince Albert dans La Reine Victoria (Herbert Wilcox, 1937). En 1940, il interprète un mari sadique dans Gaslight de Thorold Dickinson, et joue ensuite dans plusieurs films de guerre de Michael Powell et Emeric Pressburger. Ce sont 49e Parallèle (1941), Colonel Blimp (1943), ou encore Les Chaussons rouges (The Red Shoes, 1948), qui lui donnent l'occasion d'asseoir une notoriété internationale.
Anton Walbrook est à l'aise dans des rôles d'officiers comme d'aristocrates. Il allie dans ses films la sobriété et le charme classique du dandy à l'élégance, et une certaine ironie un peu distante. Il retrouve Thorold Dickinson en 1948 dans le thriller La Reine des cartes, et, en 1950, Max Ophuls fait appel à lui pour être le meneur de jeu de La Ronde. Julien Duvivier le dirige dans L'Affaire Maurizius en 1953, et il retrouve Ophuls en 1955 pour Lola Montès, dans lequel il interprète Louis Ier de Bavière. Il incarne l'évêque Cauchon dans Sainte Jeanne (Otto Preminger, 1957) aux côtés de Jean Seberg et John Gielgud, et fait une dernière apparition dans L'Affaire Dreyfus (I Accuse!) de José Ferrer la même année, se retirant ensuite définitivement du grand écran.
Tout au long de sa carrière, Anton Walbrook effectue quelques incursions sur les planches en Europe, mais également à la télévision, pour laquelle il tourne notamment une version de Laura, d'après Vera Caspary, en 1962.
Prix pour l'ensemble de la carrière, 1967 au Deutscher Filmpreis (Berlin)
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Source : Article Anton Walbrook de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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