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Avis de lecteurs

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Baba a un jardin merveilleux et transmet son savoir et sa passion [...]

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Michel Serrault

 
Michel Serrault. Source: Wikipedia

Michel Lucien Serrault est un acteur français, né le à Brunoy (Seine-et-Oise) et mort le à Honfleur (Calvados).

L'un des acteurs les plus populaires de sa génération, Serrault a tourné au total dans 140 longs métrages, endossant des rôles très différents et originaux : du boulevard (La Cage aux folles) et de la comédie absurde ou délirante (Buffet froid, Le Miraculé, Rien ne va plus) à un registre plus sombre (Garde à vue, Les fantômes du chapelier, Mortelle randonnée, Docteur Petiot) en passant par une palette d'interprétations dramatiques nuancées (Nelly et Monsieur Arnaud, Le Monde de Marty).

Il est le seul comédien à avoir obtenu le César du meilleur acteur à trois reprises : en 1979 pour La Cage aux folles ; en 1982 pour Garde à vue ; en 1996 pour Nelly et Monsieur Arnaud.

Biographie

Il est le fils de Robert Serrault, d'abord représentant en soieries puis en cartes postales le jour, et contrôleur au théâtre de l'Ambigu-Comique la nuit, et d'Adeline Foulon,. Au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale en 1939, sa mère l'envoie à Argentat en Corrèze, avec ses deux frères Raoul et Guy, et sa sœur Denise. Issu d'une « famille très simple de tradition chrétienne », il devient enfant de chœur dans l'église de ce village. Il y découvre la théâtralité de la cérémonie religieuse et côtoie la mort lors du sacrement de l'extrême onction et des funérailles religieuses.

Portant en lui le germe d'une foi naissante, il annonce à sa mère en vouloir devenir prêtre. En , il entre au petit séminaire de Conflans à Charenton-le-Pont. Dès cette époque, il proclame avoir deux passions, « faire rire et [s]'occuper de Dieu », et dira plus tard qu'il n'aurait pas aimé le vœu de chasteté. Après deux ans de séminaire marqué par l'austérité, le père Modeste Van Hamme, son directeur spirituel, l'oriente alors vers son métier de comédien, considérant qu'il servirait mieux le Seigneur dans ce domaine. Michel Serrault restera un fervent catholique.

Théâtre

Il s’inscrit au printemps 1944 au centre d’art dramatique de la Rue Blanche et suit les cours gratuits de Jean Le Goff, comme José Artur. Parallèlement, il suit des cours payants au conservatoire Maubel où il rencontre une autre élève, Juanita Saint-Peyron, qu'il épousera le . Refusé au Conservatoire en 1946, il décroche ses premiers contrats de comédien, part en tournée en Allemagne, monte un spectacle de clown avant de faire son service militaire à Dijon en 1948. À son retour, il intègre la troupe des Branquignols de Robert Dhéry, est initié au théâtre d'avant-garde par Jean-Marie Serreau, étudie l'art du mimodrame avec Étienne Decroux et fait de la figuration à la Comédie-Française.

Avec Jean Poiret

Dans les années 1950 et 1960, il fait les belles heures des cabarets parisiens en duo avec Jean Poiret, qu'il rencontre en 1952 à une audition des matinées classiques du Théâtre Sarah-Bernhardt. Ils se font connaître en interprétant ensemble le sketch « Jerry Scott, vedette internationale » dont la première représentation a lieu au cabaret Tabou le .

Cinéma

Il débute au cinéma avec les Branquignols par un petit rôle dans Ah ! les belles bacchantes (1954), puis dans Les Diaboliques (1955) d’Henri-Georges Clouzot. Il participera à leurs nombreux autres films.

Il se lance dans une longue aventure dans le film comique : Assassins et Voleurs (1957) de Sacha Guitry, avec Jean Poiret, Le Viager (1972) de Pierre Tchernia, qui le fera jouer dans plusieurs autres films, où il a pour partenaire Michel Galabru, avec lequel il participera à un grand nombre de films comme Les Gaspards, Room service. Il tourne aussi avec Louis de Funès, alors encore peu connu : Nous irons à Deauville, Des pissenlits par la racine, Carambolages, ou encore avec Jean Lefebvre et Bernard Blier : Quand passent les faisans (1965), Le Fou du labo 4 (1967), C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (1974).

Figure du théâtre de boulevard, avec ses rôles dans des pièces télévisées d'Au théâtre ce soir, il triomphe en 1973 dans le rôle de l'excentrique travesti « Zaza Napoli » de La Cage aux folles, qu’il rejouera plus tard avec un succès international dans ses adaptations au cinéma et dont le premier opus lui vaut le César du meilleur acteur en 1979.

Puis arrive L'Ibis rouge (1975) de Jean-Pierre Mocky avec Michel Simon. C'est un grand ami du cinéaste, avec lequel il tourne un grand nombre de films dont le plus gros succès reste Le Miraculé (1987), où il joue pour la dernière fois avec son vieil ami Jean Poiret et donne la réplique à Jeanne Moreau, qu'il retrouve pour un autre face à face truculent dans La Vieille qui marchait dans la mer (d'après Frédéric Dard) de Laurent Heynemann en 1991. Il reviendra à la comédie incisive avec Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol, où il forme avec Isabelle Huppert un couple d'arnaqueurs à la petite semaine pris dans les mailles du filet d'un parrain des Antilles, rôle interprété par Jean-François Balmer. Serrault a également servi le comique grinçant, absurde et ubuesque de Bertrand Blier en l'espace de trois collaborations : Préparez vos mouchoirs (1978), Buffet froid (1979) et Les Acteurs (2000) (dans ce dernier, comme presque tout le reste de la prestigieuse distribution, il interprète son propre rôle).

L’adaptation de la pièce La Cage aux folles au cinéma étant un succès international, il est un des rares acteurs français à pouvoir se permettre de tourner à la fois dans de grosses productions mais aussi des films d’art et essai, souvent moins grand public.

Rôles dramatiques

Le , sa fille Caroline, alors âgée de dix-neuf ans, est tuée dans un accident de la route à Neuilly-sur-Seine . L'acteur, Nita et leur fille cadette ne surmonteront jamais vraiment cette tragédie .

C'est désormais dans des rôles dramatiques que l'acteur va exceller. Son interprétation soulève parfois de vives polémiques, comme lorsqu'au Festival de Cannes1997, est présenté le film Assassin(s) de Mathieu Kassovitz.

En 1981, le film Garde à vue de Claude Miller lui vaut un deuxième César. Dans ce huis-clos policier, il campe un notaire cynique et équivoque. Son dialoguiste Michel Audiard déclare que Michel Serrault « est le plus grand acteur du monde ».

En 1982, dans Les fantômes du chapelier de Claude Chabrol, il est un petit commerçant provincial voué aux meurtres de vieilles dames; dans Mortelle Randonnée (1983) de Claude Miller, il croit être le père d'une jeune meurtrière, qu'il suit avant d'effacer les traces qu'elle laisse sur les scènes de crime.

Dans En toute innocence (1988) d'Alain Jessua, son personnage, paralysé et aphone, affronte sa bru adultère.

Pour Christian de Chalonge dans Docteur Petiot (1990), il endosse les oripeaux du tueur en série. C'est par ailleurs ce réalisateur qui avait révélé ses capacités à endosser des rôles ambigus avec L'Argent des autres en 1978, où il était un inquiétant banquier.

En 1995, dans Nelly et Monsieur Arnaud, le film testament de Claude Sautet, il fait preuve d'une nuance dramatique qu'il avait peu manifestée auparavant, dans le rôle d'un magistrat retraité, désenchanté, solitaire et mélancolique, qui sollicite les services d'une jeune femme délaissée pour rédiger ses mémoires. Sa prestation, unanimement reconnue comme sa composition la plus aboutie, lui permet de remporter un ultime César en 1996.

En 1999, dans Le Monde de Marty de Denis Bardiau, il tient le rôle d'un vieillard atteint de la maladie d'Alzheimer, dont la voix off commente le récit de son amitié naissante avec un jeune garçon leucémique.

Dernières années

À la fin de sa vie, l'acteur joue plutôt des rôles de « pépé » campagnard à la française, bougon, un peu rustre, mais avec un grand cœur, comme dans Les Enfants du marais (1999) de Jean Becker, avec Jacques Villeret et Jacques Gamblin, Une hirondelle a fait le printemps (2001) de Christian Carion, Le Papillon (2002) de Philippe Muyl, Albert est méchant (2003) ou Les Enfants du pays de Pierre Javaux.

Peu de temps avant sa mort, on a pu le voir aux obsèques de Jean-Claude Brialy, à Paris. Il mettait également la dernière main à un ouvrage dans lequel il souhaitait raconter ses souvenirs, en se retournant sur sa carrière exceptionnelle. Cet ouvrage, qui s'intitule À bientôt, est paru le chez Oh ! Éditions. Chrétien catholique animé d'une foi sincère, il envisageait aussi de porter à l'écran la vie du prêtre lazariste Guillaume Pouget, qu'il admirait beaucoup,.

« Homme au physique de monsieur-tout-le-monde et au caractère fougueux, cabotin, provocateur, franc et chaleureux », il a joué dans 135 longs métrages.

Il meurt chez lui, dans sa propriété du Val la Reine, à Vasouy, le , à l’âge de 79 ans, des suites d’un cancer, alors qu'il souffrait depuis plusieurs années d'une maladie rare, la polychondrite chronique atrophiante, d'où la déformation de son nez,. Le , de nombreux amis du monde du cinéma et quelques représentants officiels ont participé à ses obsèques en l'église Sainte-Catherine de Honfleur, près de sa résidence secondaire. Il est inhumé au cimetière y attenant, avant que sa dépouille ne soit transférée en 2009 au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine, lieu de sa résidence principale, auprès de son épouse et de sa fille.

Vie privée

Michel Serrault avait rencontré Juanita Saint-Peyron, dite Nita, au conservatoire Maubel à Paris, alors qu'il prenait des cours de comédie. Il l'épouse le , avec pour témoins Jean Poiret et Françoise Dorin. Ils ont deux filles : Caroline (1958-1977), qui trouvera la mort dans un accident de voiture à dix-neuf ans, et Nathalie (1962). Juanita, décédée le , aura été jusqu'à la fin l'amour de sa vie.

  • (Juanita Fanny Peyron : née le 7 août 1923 à Paris 9è et morte le 15 novembre 2008 à Paris 15è)
  • (Caroline, Michèle, Denise Serrault est née le 15 mars 1958 à Neuilly-sur-Seine et morte le 30 août 1977 à Neuilly-sur-Seine)

Récit autobiographique

Il a écrit trois ans avant sa mort un récit autobiographique, Vous avez dit Serrault ?, et un journal, Les Pieds dans le plat !, dans lequel il fait part des remarques, pensées et critiques qui s'offrent à son regard de comédien et à son cœur de chrétien.

Dans son autobiographie, il a expliqué combien la foi catholique avait marqué son existence et donné un sens à sa vie.

Théâtre

  • 1951 : Du-Gu-Du, spectacle des Branquignols, texte d'André Frédérique, musique de Gérard Calvi, Théâtre La Bruyère
  • 1955 : L'Ami de la famille de Jean Sommet, mise en scène Bernard Blier, Comédie Caumartin
  • 1957 : L'Habit vert de Robert de Flers et Gaston Arman de Caillavet, mise en scène Marcel Cravenne
  • 1958 : Monsieur Masure de Claude Magnier, mise en scène Claude Barma, Théâtre des Célestins
  • 1959 : Le Train pour Venise de Louis Verneuil & Georges Berr, mise en scène Jacques Charon, Théâtre Michel
  • 1961 : Un certain monsieur Blot de Robert Rocca, mise en scène René Dupuy, Théâtre Gramont
  • 1963 : Sacré Léonard de Jean Poiret et Michel Serrault, mise en scène André Puglia, Théâtre Fontaine
  • 1964 : Quand épousez-vous ma femme ? de Jean Bernard-Luc et Jean-Pierre Conty, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre du Vaudeville
  • 1965 : Monsieur Dodd d'Arthur Watkyn, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Variétés
  • 1966 : Opération Lagrelèche de Jean Poiret et Michel Serrault, Théâtre Fontaine
  • 1967 : Pour avoir Adrienne de Louis Verneuil, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre Marigny
  • 1968 : Gugusse de Marcel Achard, mise en scène Michel Roux, Théâtre de la Michodière
  • 1969 : Les Grosses Têtes de Jean Poiret et Michel Serrault, mise en scène Jean Poiret et René Dupuy, Théâtre de l'Athénée
  • 1969 : Le Vison voyageur de Ray Cooney et John Chapman, mise en scène Jacques Sereys, Théâtre du Gymnase
  • 1970 : Les Bonshommes de Françoise Dorin, mise en scène Jacques Charon, Théâtre du Palais-Royal
  • 1972 : Le Tombeur de Neil Simon, mise en scène Emilio Bruzzo, Théâtre de la Madeleine
  • 1973 : La Cage aux folles de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre du Palais-Royal
  • 1986 : L'Avare de Molière, mise en scène Roger Planchon, TNP Villeurbanne, Théâtre Mogador
  • 1992 : Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romains, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre de la Porte-Saint-Martin

Filmographie

Discographie

Jean Poiret et Michel Serrault

  • 1955 : Les interviews de Jean Poiret et Michel Serrault no 1 : Jerry Scott, vedette internationale
  • 1955 : Jean Poiret et Michel Serrault dans leurs interviews no 2 : Stéphane Brineville, prix littéraire
  • 1955 : Les interviews de Jean Poiret et Michel Serrault 3 : Le Salon De L'Homme (1re Partie) - Hommes A Vendre "Épiciers, Magistrats Généraux, Intellectuels" / Le Salon De L'Homme (Suite Et Fin) "Fonctionnaires, Spécimens Internationaux Et Français Moyens" / Si Versailles M’était "Critiqué" (Impressions D'un Critique Sur Le Film De M. Sacha Guitry)
  • 1955 : Clément de Laprade, explorateur
  • 1956 : Les embarras de Paris
  • 1956 : Voyage en Corrèze
  • 1957 ; Les 45 tours de Monsieur Petit Lagrelèche
  • 1958 : Monsieur Petit Lagrelèche, parlementaire
  • 1960 : Le Président : Interview du Président Auguste Braquillet
  • 1960 : Les antiquaires (avec Jacqueline Maillan)
  • 1962 : Permis de conduire
  • 1962 : En direct du Théâtre de 10 Heures : Le spécialiste / Monsieur Poton, indépendant
  • 1962 : Le Bourgeois gentilhomme : Auteur : Molière - Compositeur : Jean-Baptiste Lully - Direction d'orchestre : Roland Douatte - Interprètes : Chorale Philippe Caillard, Collegium musicum de Paris - Mezzo-soprano : Denise Benoît - Ensemble vocal : Les Frères Jacques - Réalisateur : Georges Hacquard - Distribution : Arletty (Madame Jourdain), Sophie Desmarets (Nicole), Françoise Dorléac (Lucile), Jacques Fabbri (Monsieur Jourdain), Pierre Philippe (élève du maître de musique), Jean Poiret (maître de musique), Michel Serrault (maître à danser), Serge Berry (1er laquais), Jean-Claude Pollet (2e laquais), Henri Virlojeux (maître d'armes), Robert Vattier (maître de philosophie), Jean Raymond (maître tailleur), Jacques Muller (garçon tailleur), Jacques Dacqmine (Dorante), Louis Velle (Cléonte), Henri Salvador (Covielle), Maria Mauban (Dorimène)
  • 1963 : Démarrer au 1/4 de Tour...Auto... Critiques (1re Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1963 : Un Moteur qui "Tourne Rond"...Auto... Critiques (2e Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1963 : Une Voiture en Forme...Auto... Critiques (3e Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1965 : Chanson du film A La Tête du client (avec Francis Blanche, Darry Cowl et Jean Richard)
  • 1967 : En direct de La Tête de l’Art : Gymnastique du corps et de l'esprit par le Professeur Petit Lagrelèche
  • 1992 : Radio mémoire - 40 ans de radio : Jean Poiret et Michel Serrault - Poètes à vos luths (1957)
  • 2000 : Méga Fou Rire : Jean Poiret et Michel Serrault - Plaies et Bosses

Michel Serrault

  • 1961 : Un certain Monsieur Blot de Robert Rocca d'après le livre de Pierre Daninos. Réalisation de René Dupuy. Au piano : Michel Ramos. Avec Michel Serrault et Georges Audoubert, Christine Aurel, Jacqueline Cros, Robert Destain, Michel George, Fernand Guiot, Francis Joffo, Claude Larue, Paul Le Person, Francine Olivier, Daniel Prévost, Danielle Rocca, Pierre Roussel, André Thorent, Jean Yanne. Commentaires dits par Robert Rocca. Enregistrement public au Théâtre Gramont.
  • 1980 : Zygomaticorama 79/80 : Michel Serrault : Le Docteur en Doigt
  • 1998 : Michel Serrault et Isabelle Carré racontent la crèche de Notre-Dame : Récitants : Isabelle Carré, Michel Serrault. Orgue : Olivier Latry
  • 2002 : B.O.F. Le Papillon : Michel Serrault et Claire Bouanich : Le Papillon, Paroles et musique : Philippe Muyl et Nicolas Errèra

Publications

  • Le cri de la carotte (avec Jean-Louis Remilleux), aux éditions Michel Lafon, 1995 (ISBN 978-2840980742), rééd. Ramsay, 1997 (ISBN 978-2841143597 et 978-2841141579)
  • ...Vous avez dit Serrault ?, Éditions Florent Massot, 2001 (ISBN 978-2845880351)
  • Les Pieds dans le plat !, Oh ! Éditions, 2004 (ISBN 978-2915056075)
  • À bientôt, Oh ! Éditions, 2007
  • Jean Poiret Michel Serrault, Jean-Jacques Jelot-Blanc, Éditions Alphée, 2009 (ISBN 978-2753803718)

Documentaires consacrés à Michel Serrault

  • 2007 : Michel Serrault, le portrait, documentaire de Gérard Jourd'hui : lui-même
  • 2013 : Un jour, un destin : « Michel Serrault, la fureur de rire »

Hommages

  • Allée Michel-Serrault, dans le 19e arrondissement de Paris.

Distinctions

Décorations

  • Officier de la Légion d'honneur, décret du 31 décembre 1996
  • Commandeur de l'ordre national du Mérite, décret du 14 novembre 2002
  • Chevalier de l'ordre du Mérite agricole
  • Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres

Récompenses

César

(source : Académie des César)

Lumières de la presse internationale

Molières

Festival de la Fiction TV

Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

  • Michel Serrault et Jean-Louis Remilleux, Le Cri de la carotte. Conversations avec Jean-Louis Remilleux, Éditions Ramsay, .
  • Jean-Jacques Jelot-Blanc, Michel Serrault, Pac, 1985
  • Nathalie Serrault, Michel Serrault, éditions Kero, 2013

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuel :
    • AllMovie
    • Allociné
    • Filmportal
    • Filmweb.pl
    • IMDb
    • Korean Movie Database
    • Rotten Tomatoes
  • Ressources relatives à la musique :
    • Discogs
    • MusicBrainz
    • Muziekweb
  • Ressource relative au spectacle :
    • Les Archives du spectacle
  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Vidéo : Michel Serrault en 1990, confie ses doutes, ses joies et ses espérances, une archive de la Télévision suisse romande
  • Fiche Bibliothèque du Film
  • Portail du cinéma français
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Source : Article Michel Serrault de Wikipédia

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