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Avis de lecteurs

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Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
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La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

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Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

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"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

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Amar Ezzahi

 
Amar Ezzahi. Source: Wikipedia

Amar Ezzahi, né le à Iboudraren, anciennement de la région de Ain El Hammam, daïra de Beni Yenni wilaya de Tizi Ouzou, et mort le à Alger, est un chanteur, compositeur et interprète de chaâbi algérien.

Biographie

De son vrai nom Amar Aït Zaï, Ezzahi est né le à Iboudraren daïra de Ath Yenni dans la wilaya de Tizi Ouzou.

C'est en écoutant Boudjemaâ El Ankis, dans les années 60, qu'il aima le chaâbi. Autodidacte, il apprendra le chaabi sur le tas.

Il aura la chance d'avoir, dans son orchestre, durant quinze ans, un musicien de talent qui lui a transmis plusieurs qacidate, il s'agit de cheikh Kaddour Bachtobdji avec lequel il a commence à travailler en 1964.

Son premier enregistrement date de 1968, Ya djahel leshab et Ya el adraâ furent les deux premières chansons de son premier 45t. La musique et les paroles étaient de Mahboub Bati. En 1971, il enregistre trois 45t et en 1976, deux 33t. II compte trois chansons à la radio et quatre autres à la télévision.

Modeste, réservé, se confiant rarement, fréquentant souvent le café El Kawakib, Ezzahi, l'un des plus brillants interprètes du chaabi des années 70, disparaît pratiquement de la scène artistique à partir de 80 et n'est présent que lors des fêtes familiales.

Il réapparaît le dans un récital à la salle Ibn Khaldoun à Alger pour s'effacer à nouveau.

Il meurt le . À l'annonce de sa mort, Azzedine Mihoubi, le ministre algérien de la Culture, s'est rendu à son domicile pour lui rendre hommage. Ses funérailles ont eu lieu le lendemain 1er décembre. Il a été inhumé au cimetière d'El Kettar (en),.

Abdelkader Chaou et Kamel Aziz lui ont rendu hommage au cours d'une représentation en son honneur, à l'Institut du monde arabe le à Paris.

Carrière

Ezzahi était un chanteur et un joueur de mandole. Ses premiers enregistrements datent de 1965. En 1976, il a enregistré deux albums. Il s'est produit la dernière fois en concert, le à Alger, ses apparitions en salle étaient rares, la majorité datent d'avant 1980, mais impossible d'avoir ces enregistrements, excepté quelques-unes postées par ses fans dans le web, =au Théâtre National d'alger en 1976 et à l'occasion de la fête d'el mawlid Ennabaoui en 1972. Il préférait se produire dans les réunions familiales. Il fuyait les médias et refusait les droits d'auteur. C'était la figure la plus importante du chaâbi algérien.

Vie et mort personnelles

Ezzahi a vécu une vie ascétique: il n'était pas marié et n'avait pas d'enfants,.

Ezzahi est décédé le ,.  À sa mort, Azzedine Mihoubi , le ministre algérien de la Culture, a visité sa maison pour lui rendre hommage.  Ses funérailles ont eu lieu dans une mosquée le lendemain, le 1er décembre, et il a été enterré au cimetière d' El Kettar ,.

Une célébration en l'honneur d'Ezzahi, avec des performances d' Abdelkader Chaou et Kamel Aziz , a eu lieu à l'Institut du monde arabe le 3 décembre 2016 à Paris, France.

Quelques-unes de ses chansons les plus connues

- Zinouba
- Esmaa Nousik Ya Inssan
- EL Haraz
- Sali Trach
- El Djafi
- Yel Meknin Ezzine
- Yal Adra
- Aadrouni yahli


Notes et références


  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Amar Ezzahi » (voir la liste des auteurs).
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Source : Article Amar Ezzahi de Wikipédia

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