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Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
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Léon Hagège, dit Claude Hagège (arabe : كلود حجاج), né le à Carthage (Tunisie), est un linguiste français d'origine tunisienne.
Fils d'Edmond Hagège, entrepreneur en électricité tunisien de confession juive, et de Liliane Taïeb, « juive d'attaches chrétiennes », Claude Hagège passe son enfance à Tunis dans un milieu polyglotte,, et s'applique dès ses six ans à s'adresser aux gens dans leur propre langue, et s'attache à étudier et analyser les langues tout en utilisant un esprit de libre-pensée. Et en demandant à chaque personne qu'il croise dans les rues de Tunis la signification d'un mot ou d'une phrase.
Bachelier du lycée Carnot de Tunis en 1953, il poursuit ses études à Paris au lycée Louis-le-Grand en classes de lettres supérieures et de première supérieure (1953-1955), puis à l'École normale supérieure (1955-1959), à l'université de Paris, où il obtient une licence de lettres classiques et une licence d'arabe en 1956, un diplôme d'études supérieures d'arabe en 1957, une licence de linguistique générale en 1965 et une licence de chinois en 1969. Il suit également des cours à l'École pratique des hautes études et à l'École nationale des langues orientales, où il obtient un diplôme d'hébreu en 1964, un diplôme de chinois en 1967, et un diplôme de russe en 1970.
Reçu à l'agrégation de lettres classiques en 1958, Claude Hagège enseigne au lycée de Carthage (1959-1961). Il fait son service militaire (1961-1963), puis est affecté aux lycées Victor-Duruy et Saint-Louis à Paris (1963-1965). En détachement, comme attaché de recherche du CNRS de 1965 à 1970, il prépare, sous la direction d'André Martinet, une thèse de doctorat ès lettres qu'il soutient en 1971 à l'université Paris-V. Nommé maître de conférences en 1970, puis professeur à l'université de Poitiers, Claude Hagège devient directeur d'études en linguistique structurale à l'École pratique des hautes études en 1977, et professeur titulaire de la chaire de théorie linguistique au Collège de France entre 1988 et 2006 tout en étant un candidat malheureux à l'Académie française à deux reprises (en 2000 et en 2007).
Professeur honoraire au Collège de France, il est renommé pour sa maîtrise d'une dizaine de langues et ses connaissances éparses dans une cinquantaine de langues, parmi lesquelles l'italien, l'anglais, l'arabe, le mandarin, l'hébreu, le russe, le guarani, le hongrois, le navajo, le nocte (en), le pendjabi, le persan, le malais, l'hindi, le malgache, le peul, le quechua, le tamoul, le tetela, le turc et le japonais.
Homme attaché à la culture française, Claude Hagège pourfend l'anglais comme vecteur de pensée unique dans son ouvrage Contre la pensée unique (2012). Il précise cependant que l'anglais est aussi le support d'« esprits libres », d'une « pensée libertaire […] défendant la liberté, contre la fausse liberté qu'est le néolibéralisme, c'est-à-dire la liberté de faire de l'argent en profitant des malheureux qui sont incapables d'en faire et qu'on exploite. » Il explique aussi qu'il s'agit d'un livre inspiré par ses amis américains.
De son union avec Marie Gaudin, il a deux enfants : Emmanuel et Hélène.
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Source : Article Claude Hagège de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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