Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Gisèle Bienne, née le 27 juillet 1946 à Chavanges dans l'Aube, est une romancière et essayiste française. Elle vit et travaille à Reims.
Elle est l'autrice de romans, récits et essais parus en littérature générale, ainsi que d’ouvrages destinés à la jeunesse.
Après avoir suivi des études secondaires dans la Haute-Marne, c’est à Nancy qu’elle fait des études supérieures de Lettres. Pendant quelques années, elle mène de front ses activités de professeur et de peintre.
Elle commence à écrire à 28 ans ; son premier roman, Marie-salope touche immédiatement un nombreux public.
Les premiers livres pour adultes de Bienne, Marie-Salope, Douce-Amère, Rose-enfance, présentent certains aspects autobiographiques, comme, plus tard, plusieurs de ses romans destinés aux adolescents[Interprétation personnelle ?].
Ses personnages souvent en rupture de parole ou de société s’offrent alors comme des « variations toujours renouvelées sur la marginalité et l’autre »[réf. nécessaire]. Ils réfractent les voix des autres, ainsi les survivants de la Grande Guerre qui figurent dans quatre de ses romans, Paysages de l’insomnie (un homme, Marcel, au retour de la Grande Guerre), La Ferme de Navarin traitant de la blessure de guerre du poète Blaise Cendrars (il perd la main droite au combat en 1915), Le cavalier démonté où se tisse un lien fort et souterrain entre un grand-père marqué par la Grande Guerre et sa petite-fille et Les Fous dans la mansarde, qui dit l'envergure de la mémoire et l'état de détresse de certains revenants.[Interprétation personnelle ?]
Gisèle Bienne a consacré deux livres à Katherine Mansfield (Katherine Mansfield ou la lumière du Sud) et à Blaise Cendrars (La Ferme de Navarin).
Dans La Malchimie et L'homme-frère, elle traite de questions environnementales importantes liées en particulier à la grande agriculture et à la nocivité des pesticides sur les vivants. La relation frère/sœur y révèle de façon juste et peu explorée jusqu'à présent la complexité des milieux sociaux en jeu et celle des modalités relatives au partage ou à l'héritage de la terre.[Interprétation personnelle ?]
Le 5 avril 2023 paraît son récit consacré à Chalamov, Les Larmes de Chalamov, aux éditions Actes Sud.
Marie-salope ou la jeune fille et la vie, roman, Éditions Des Femmes, 1976 ; réédition : Climats/Flammarion, 2004 ; puis aux Éditions Actes Sud, à la suite de La Brûlure, en un seul volume, 2018.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Gisèle Bienne de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00