Derrière le trait pourtant un peu "rustre" de Jérémie Moreau c'est un récit magistral que nous offre l'auteur, superbement écrit et scénarisé, où l'on découvre en fait un graphisme sensible [...]
Toujours un très beau dessin et un récit bien mis en valeur pour découvrir un des plus vieux récits mythologiques parvenus jusqu'à nous.
Madeleine a 93 ans en 2017 quand Jean-David Morvan l’appelle pour lui proposer de faire une bande dessinée sur elle : « une BD ?!! … mais c’est pour les [...]
Un manga avec un humour bien dans le style shonen qui va vite plaire à un jeune lecteur amateur et accessible à un jeune public qui veut débuter les mangas.
Une super bande-dessinée, entre uchronie, SF, Thriller et polar. La guerre d'Algérie y est habilement abordé, j'ai hâte de lire la suite !
Un couple d'amants s'était promis de s'accompagner dans la vieillesse. La dépendance arrive plus tôt que prévu pour l'un des deux, qui se voit plus ou moins contraint par sa [...]
Sami Bouajila est un acteur franco-tunisien, né le à La Tronche en Isère. Il remporte le César du meilleur acteur en 2021 pour le rôle de Fares dans Un fils.
Sami Bouajila est né le à La Tronche, en Isère. Son père est peintre en bâtiment, issu de l'immigration tunisienne, venu en France en 1956. Il grandit à Échirolles, en banlieue sud de Grenoble. Après avoir vécu vingt ans à Paris, Sami Bouajila est revenu dans sa région d'origine en s'installant à Saint-Martin-d'Uriage.
Il s'est formé par le théâtre, au conservatoire de Grenoble, puis à l'école de la Comédie de Saint-Étienne.
En 1991, Sami Bouajila commence sa carrière d'acteur avec le long métrage La Thune de Philippe Galland, dans le rôle principal de Kamel, jeune maghrébin de banlieue parisienne dans le désir de monter sa propre société et de devenir riche. À la suite de ce film, il est nommé pour le prix Michel-Simon en 1992.
En 1995, il est révélé grâce au film Bye Bye de Karim Dridi : à nouveau il reçoit un prix, celui d'interprétation masculine au festival international du film de Thessalonique.
En 2000, il commence à se faire un nom grâce au film Drôle de Félix et reçoit à cette occasion le prix de meilleur jeune acteur au festival du film de Cabourg.
En 2006, après des collaborations remarquées avec Abdellatif Kechiche dans La Faute à Voltaire et Michel Blanc dans Embrassez qui vous voudrez, le succès du film de guerre Indigènes (بلديون) de Rachid Bouchareb le fait mieux connaître du grand public : il obtient le prix d'interprétation masculine au festival de Cannes pour son rôle et le film Indigènes compte 3,2 millions d'entréesà sa sortie en salle.
En 2008, il est récompensé du César du meilleur second rôle masculin pour Les Témoins d'André Téchiné.
En 2011, il interprète le rôle d'Omar Raddad dans Omar m'a tuer, réalisé par Roschdy Zem.
En , le film dramatique Un fils (بيك نعيش) de Mehdi Barsaoui est sélectionné et présenté à la Mostra de Venise, où l'acteur reçoit le prix du meilleur acteur de la section « Orizzonti » en .
Il remporte le César du meilleur acteur en 2021 pour le rôle de Fares dans Un fils.
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