Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
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Ce dernier réussit à convaincre [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
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La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]
Georges Normandy, pseudonyme de Georges Charles Segaut, né le 1er janvier 1882 à Fécamp et mort le à Paris (10e), est un écrivain, dramaturge et critique littéraire français, admirateur et ami de Jean Lorrain.
Fils de Claude Segaut (1853-1930), ingénieur pour la Compagnie centrale du gaz Lebon et directeur de l'usine à gaz de Fécamp, Georges Ségaut, également ingénieur de formation, préfère le monde des lettres. Il débute dans la vie littéraire par des articles publiés sous le nom de Georges Normandy à La Revue contemporaine, notamment avec Maffeo Charles Poinsot (1872-1954). Les deux compères produisirent en 1906 un ouvrage érotique, sous le pseudonyme collectif de Paul de Robertski, intitulé Le Fouet en Pologne et en Autriche-Hongrie (1830-1848).
En 1904, il collabore avec José de Bérys et Noré Brunel pour l'adaptation au théâtre de La Maison Philibert, un roman de l'écrivain Jean Lorrain, dont il est l'un des grands amis. En 1907, il devient d'ailleurs légataire testamentaire de Jean Lorrain, mort l'année précédente. Dès lors, Normandy se charge de promouvoir l'œuvre littéraire de son ami disparu. Il écrit un premier ouvrage sur Jean Lorrain, puis fait paraître des inédits et des rééditions de l'écrivain décédé, dont il rédige introductions et préfaces :
Georges Normandy est également l'auteur, en collaboration avec Aurèle Patorni, d'un roman policier, Mr. Zapp, l'homme qui gagne à la roulette, paru dans la collection Le Masque en 1941.
Durant l'Occupation allemande, il est nommé administrateur provisoire, entre autres des éditions Fernand Nathan.
Il demeurait à Asnières-sur-Seine et possédait le château de Beurville (Haute-Marne). Ses traits ont été fixés par le peintre sicilien Pino della Selva (Georges Normandy avait été parmi les premiers à écrire sur cet artiste arrivé en France en 1931) dans un tableau-portrait qui fut exposé au Salon des indépendants de 1932.
Il s'était marié en avec Germaine Aymos (1887-1930),, une ancienne danseuse de music-hall qui avait un temps défrayé les chroniques judiciaires à la suite de plaintes déposées contre elle pour outrage public à la pudeur. Officier de l'ordre du Nichan Iftikar, elle écrivait sous le nom d'Yve Normandy essentiellement dans la revue L'Esprit français fondée et dirigée par son mari.
Il repose au cimetière des Batignolles dans la sépulture familiale Segaut (16e division).
Gustave Flaubert lettres inédites à Raoul-Duval commentées par Georges Normandy Éditions Albin Micel 1950
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Source : Article Georges Normandy de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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