Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
Rudolf Kempe (né à Dresde le - mort à Zurich le ) est un chef d'orchestre allemand, spécialiste du répertoire post-romantique germano-autrichien (Richard Wagner, Anton Bruckner, Johannes Brahms et, plus encore, Richard Strauss).
Après des études musicales à Dresde, il débuta comme hautboïste à Dortmund, en 1928. De 1929 à 1936, il était premier hautboïste et pianiste de l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig, où il entama sa carrière de chef à l'âge de 27 ans. Après la guerre, il dirigea comme chef principal et/ou directeur musical les orchestres de Dresde, Londres, Zurich et Munich ainsi que l'opéra de Munich, et fut fréquemment invité à New York, à Milan et au Festival de Bayreuth. À sa mort prématurée, ce fut Sergiu Celibidache qui lui succéda à la tête de la phalange bavaroise.
Comme chef d'orchestre, Kempe était attaché au beau son, mais sans fétichisme. Toujours vigoureux, souvent brillant, jamais brouillon, c'était un chef d'orchestre dans la tradition allemande du Kapellmeister : respectueux du compositeur et de l'œuvre qu'il jouait derrière laquelle il s'effaçait avec le plus grand naturel. Avec Kempe, plus que « d'interprétation », il faut parler de « lecture » des œuvres qu'il jouait. Chef lyrique par excellence, il a progressivement renoncé à partir des années 1955 à prendre des responsabilités dans une grande maison d'opéra alors que le poste de directeur musical de Covent Garden lui était offert en 1955 par Sir David Webster. Il s'est alors tourné de plus en plus vers le concert. Pourtant, jusqu'à la fin de sa vie, on l'a retrouvé de temps à autre dans la fosse en quelques grandes occasions. Entre 1960 et 1967 à Bayreuth, à Covent Garden, en 1954-1955 au Metropolitan Opera, à Munich en 1966, aux Chorégies d'Orange en 1974 où il dirigea une Salomé d'anthologie avec Leonie Rysanek et Jon Vickers, et l'année suivante en 1975 dans La Walkyrie.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Rudolf Kempe de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00