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Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
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Brigitte Engerer, née le à Tunis et morte le à Paris, est une pianiste française.
Ayant commencé la musique à l'âge de cinq ans, elle entre ensuite au Conservatoire national supérieur de musique à Paris, dans la classe de Lucette Descaves. Elle y obtient en 1968, à quinze ans, un premier prix de piano, première nommée à l'unanimité. En 1969, elle est lauréate (sixième place) du Concours international Marguerite Long-Jacques Thibaud, à la suite duquel elle est invitée pour se perfectionner au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, où elle rejoint la classe de Stanislas Neuhaus, fils d'Heinrich Neuhaus. À dix-sept ans, cette native de Tunis quitte donc Paris pour l'URSS, où elle restera neuf ans. D'après Stanislas Neuhaus, son professeur pendant cinq ans, « Brigitte Engerer est l’une des pianistes les plus brillantes et les plus originales de sa génération. Son jeu se caractérise par son sens artistique, son esprit romantique, son ampleur, la perfection de sa technique, ainsi que par une science innée d’établir le contact avec l’auditoire ». Elle fut également lauréate (3e) du Concours musical international Reine Élisabeth de Belgique en 1978.
À l’âge de vingt-cinq ans, Brigitte Engerer est invitée par Herbert von Karajan à jouer avec l’Orchestre philharmonique de Berlin puis à participer aux fêtes du centenaire de l’orchestre, dont elle dira : « C'était alors le meilleur orchestre du monde ». Par la suite, elle fera ses débuts avec l’Orchestre de Paris sous la baguette de Daniel Barenboim, puis avec l'Orchestre philharmonique de New York sous la direction de Zubin Mehta.
À partir de 1992, elle enseigne au Conservatoire national supérieur de musique de Paris.
Elle reçoit en 2011 une Victoire de la Musique récompensant l'ensemble de sa carrière.
Le , au théâtre des Champs-Élysées, Brigitte Engerer interprète avec l'Orchestre de chambre de Paris le concerto de Schumann. Ce qui sera son dernier concert lui permet de délivrer un ultime message à son public. L'audition eut lieu en effet dans la salle même où, cinquante ans plus tôt, elle avait donné son premier concert, à l'âge de neuf ans.
Elle meurt à Paris le 23 juin 2012 des suites du cancer contre lequel elle luttait depuis plusieurs années. Elle est inhumée au cimetière du Montparnasse à Paris, dans la 11e division.
Un hommage lui est rendu le 31 juillet suivant, lors du festival international de La Roque-d'Anthéron, dans un concert donné par l'Orchestre régional de Cannes-Provence-Alpes-Côte d’Azur, placé sous la direction de Philippe Bender : Anne Queffélec, la sœur de son premier mari, y joue le concerto no 1 de Chopin, et Boris Berezovsky, le concerto no 1 de Tchaïkovsky.
En juin 2022, Mezzo et France Musique lui ont rendu hommage pour le dixième anniversaire de sa mort avec une semaine de concerts et interviews d'archives.
En 1992, Brigitte Engerer disait dans un entretien au Washington Post : « I need the transparency of the French piano — and, more important, the rationality of French philosophy. But I needed some of the Russian craziness in my playing. I still do. » (« J'ai besoin de la transparence du piano français - et, plus encore, de la rationalité de la philosophie française. Mais j'avais aussi besoin de la folie russe dans mon jeu. J'en ai encore besoin. »)
En 1985, elle avait épousé l'écrivain Yann Queffélec, frère de la pianiste Anne Queffélec. Elle a eu avec lui une fille prénommée Léonore. Elle a été ensuite été la compagne de Xavier Fourteau, père de son fils Harold, né en 1994.
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Source : Article Brigitte Engerer de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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