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Avis de lecteurs

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Le rapport de Brodeck n° 1
L'autre (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Pierre Schaeffer

 
Pierre Schaeffer. Source: Wikipedia

Pierre Schaeffer, né le à Nancy et mort le aux Milles, près d'Aix-en-Provence, est un ingénieur, chercheur, théoricien, compositeur et écrivain français. Il a également été homme de radio, fondateur et directeur de nombreux services. Il est considéré comme le père de la musique concrète, de la musique acousmatique et de la musique électroacoustique.

« Le miracle de la musique concrète, que je tente de faire ressentir à mon interlocuteur, c'est qu'au cours des expériences, les choses se mettent à parler d'elles-mêmes, comme si elles nous apportaient le message d'un monde qui nous serait inconnu ».

Biographie et travaux

Radio

Élève au lycée Saint-Sigisbert Saint-Léopold de Nancy, à l'École polytechnique (promotion X1929), puis à l'École supérieure d'électricité (Supélec, promotion 1931), Pierre Schaeffer s'implique fortement dans le scoutisme catholique. Il a été très actif au patronage du lycée Saint Sigisbert : La Foucotte.

Il amorce une carrière d'ingénieur à Strasbourg, avant d'intégrer la direction de la Radio à Paris, en 1936. Tout en tenant une chronique sur la radiodiffusion dans La Revue musicale, il anime Radio Jeunesse, avant de prendre la tête de Jeune France sous l’égide du ministère de la Jeunesse du gouvernement de Vichy. Grâce à des statuts lui garantissant une certaine indépendance, et avec l’appui d’Emmanuel Mounier, il recrute des membres ayant des convictions pluralistes, voire des gaullistes notoires comme Roger Leenhardt,

Après que le Secrétariat général à la jeunesse lui a demandé l’éviction de Mounier en , il est lui-même renvoyé en décembre et l'association dissoute en 1942.

Il produit des émissions, dont La coquille à planètes, et crée en 1943 le Studio d'essai de la RTF, avec Jacques Copeau, voué à l'expérimentation radiophonique et qu'il met au service de la Résistance en 1944 : enregistrant les poètes de celle-ci, diffusant des messages interdits et enregistrant la vie des rues de Paris pendant les combats de la Libération.

Il poursuit après guerre sa longue carrière d’inventeur : musique concrète, perfectionnement et étude des « machines à communiquer ». En 1951, il crée le Groupe de musique concrète qui devient en 1958 le Groupe de recherches musicales. En 1953, chargé de mission au ministère de la France d'outre-mer, Schaeffer crée la société de radiodiffusion de la France d'outre-mer (Sorafom). De retour à Paris en 1961, il fonde cette fois, au sein de la Radiodiffusion-télévision française (RTF) qui devient l'ORTF en 1964, le Service de la recherche de la RTF, qu'il administre jusqu'en 1975, le Service de la recherche s'intègre alors à l'Institut national de l'audiovisuel.

C'est, entre autres, grâce aux travaux de Schaeffer en son sein qu'on sait aujourd'hui que la reconnaissance d'un instrument par son timbre dépend en grande partie de son attaque, et non seulement de la répartition spectrale de sa résonance, comme on le pensait suivant la théorie de Helmholtz répercutée dans l'enseignement musical par Danhauser.

Musique

Fils du violoniste et professeur de musique Henri Schaeffer (1881-1963) et de la cantatrice et professeure de musique Sidonie-Lucie Labriet (1884-1979),, Schaeffer s'est toujours interrogé sur le phénomène musical. Profitant des installations à sa disposition au studio d’essai, et notamment de l'arrivée du magnétophone, il commence, en 1948, à effectuer des expérimentations au moyen de sons ou de séquences enregistrés sur des disques de vinyle. Il devient ainsi le pionnier de l'introduction de la technologie dans la composition et donne ainsi naissance à ce qu’il appelle « musique concrète ».

Entre autres techniques, il utilise le « sillon fermé », où l'aiguille retombe indéfiniment dans le même sillon du disque. Des « objets sonores » en boucle sont ainsi créés, objets qu'il manipule par montage, par variations de vitesse et par diffusion à l'envers. De ces expérimentations naissent notamment l'Étude aux chemins de fer et la Symphonie pour un homme seul, pièces qui suscitent à la fois l’attention du milieu musical et les railleries des compositeurs de musique sérielle, avec qui Schaeffer sera souvent en conflit.

La notion de musique concrète a souvent été mal interprétée. Ce genre désigne non pas un style ou un type de matériau, mais plutôt une démarche :

« Lorsqu'en 1948, j'ai proposé le terme de musique concrète, j'entendais, par cet adjectif, marquer une inversion dans le sens du travail musical. Au lieu de noter des idées musicales par les symboles du solfège, et de confier la réalisation concrète à des instrumentistes connus, il s'agissait de recueillir le concret sonore, d'où qu'il vienne, et d'en abstraire les valeurs musicales qu'il contenait en puissance. »

Il s'agit donc pour le compositeur de manipuler directement la matière sonore au lieu de confier cette tâche à des instrumentistes. Ce faisant, et par conséquent, tous les sons, quels qu'ils soient, sont susceptibles d’être organisés en un discours musical, dont Schaeffer s'ingénie à cerner les contours.

Assisté de Pierre Henry, devenu un des grands compositeurs du genre, Schaeffer dévoile ainsi un univers sonore qui abolit les limites de la musique instrumentale. Leur opéra Orphée 53, présenté au festival de Donaueschingen en 1953, fait d’ailleurs scandale.

Schaeffer continue d'explorer ce nouveau genre musical, se concentrant sur des études d'objets sonores. Il cesse de composer en 1960, pour donner davantage de place à ses activités de chercheur. Il assure toutefois, à partir de 1968, et jusqu'en 1980, un séminaire sur la musique expérimentale au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, conjointement avec le GRM et Guy Reibel. Il ne revient à la composition, cette fois avec des sons électroniques, qu'en 1975 avec Le Triède fertile composé avec Bernard Durr, et, en 1979, avec Bilude.

Souvent invité comme conférencier, où sa verve polémique suscite souvent les débats, il reçoit plusieurs distinctions honorifiques, dont le grand prix des compositeurs de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) en 1976.

Pierre Schaeffer s'est éloigné de l'univers musical dans les années 1980, après avoir critiqué l'avant-garde des années 1950 qui cherchait à rompre avec la tradition. Cette lecture vise à la création d'une technique instrumentale innovante qui ne rompe pas avec la tradition.

Recherche

L’avènement de la musique concrète conduit Pierre Schaeffer à une réflexion poussée sur le phénomène de la perception musicale. L'essentiel de ses travaux consiste à saisir la nature et la richesse de l'élément sonore, sa substance et sa matérialité, qu'il analyse en utilisant le terme d'« objet sonore ». Ce terme est inspiré de la phénoménologie et désigne une entité sonore détachée de son contexte. L’objet est ainsi apprécié dans ses qualités intrinsèques, sans égard à sa signification ou à son contexte culturel.

Plusieurs ouvrages viendront étayer cette démarche. Dans À la recherche d’une musique concrète, paru en 1952, il raconte la genèse de ce nouveau genre musical dont il tente d’apprivoiser l'immensité du domaine ainsi défriché. Un chapitre, écrit par Abraham Moles, dresse d’ailleurs les prémices d’un solfège de l'objet sonore.

Ce solfège, contribution clé de Schaeffer et de ses collaborateurs à la recherche musicale, est décrit en détail dans son ouvrage maître, le Traité des objets musicaux, vaste somme philosophique, acoustique et musicologique sur les musiques expérimentales. L'objet sonore y est décrit sous toutes ses facettes avec un vocabulaire adapté à ses attributs typologiques et morphologiques. Schaeffer édicte également dans cet ouvrage un axiome qu'il reprendra souvent (« la musique est faite pour être entendue ») : « dans cette recherche d‘ailleurs, nous ne perdons pas de vue ce postulat, pour nous fondamental, que toute musique est faite pour être entendue. Nous rattachons ainsi tout langage musical possible à des valeurs élaborées au niveau de la perception. » La formule deviendra son cheval de bataille face à l’abstraction de plus en plus poussée des démarches compositionnelles, souvent détachées de tout souci sonore ou musical au profit d’une construction purement intellectuelle.

Schaeffer approfondit ses réflexions dans plusieurs essais et articles, notamment dans La Revue musicale et lors des séminaires du Conservatoire de musique de Paris ou des multiples conférences auxquels il est convié.

Les recherches de Schaeffer ne se cantonnent toutefois pas uniquement au domaine musical. À la demande du directeur de la Radio, il entreprend également une recherche fondamentale sur l'image d'une télévision encore à ses premiers pas. Ainsi naît le Service de la Recherche. Dans ce service où règne l'imagination la plus florissante, est conçue, en 1968, la série télévisée Les Shadoks dont les graphismes simples conviennent parfaitement à l'une des machines inventées : l'Animographe de Jean Dejoux, vers 1966.

Une synthèse de ses réflexions sur l’audiovisuel sera publiée dans les deux tomes de Machines à communiquer en 1970 et 1972.

Écrits

Son œuvre littéraire, au travers de romans, d'essais ou de nouvelles, retrace des passages de sa vie, mais révèle également ses doutes sur la nature humaine et les institutions qu'elle crée. Pierre Schaeffer y consacre la majeure partie de son temps à partir de 1978. Mentionnons Excusez-moi, je meurs et autres fabulations et Prélude, choral et fugue.

Vie personnelle

Il épouse Elisabeth Schmitt dont il a une première fille Marie-Claire, réalisatrice mariée au réalisateur Gérard Patris, puis la psychanalyste Jacqueline Schaeffer dont il a une seconde fille, Justine, comédienne et chanteuse.

Il est le cousin du peintre orientaliste Jacques Majorelle et l'arrière-petit-fils du décorateur Auguste Majorelle.

Il est inhumé au cimetière de Delincourt, dans l'Oise.

Œuvre

Livres

Œuvres musicales

Enregistrements publiés

édités par INA-GRM en 2023

Réalisations radiophonique

Films

Postérité

Prix

  • Un prix est remis de 2006 à 2015, en mémoire de l'inventeur de la musique concrète, le Qwartz Pierre Schaeffer : Bernard Parmegiani, Otavio Henrique Soares Brandao, Henri Pousseur, Jean-Claude Risset, Beatriz Ferreyra, Åke Parmerud, Roger Cochini, François Bayle et Éliane Radigue l'ont reçu depuis sa création des mains de Madame Jacqueline Schaeffer.
  • Un prix Pierre-Schaeffer « découverte » a également été institué en 2009 au sein du concours Phonurgia Nova pour stimuler la création radiophonique. Il est décerné chaque année à Arles à des jeunes auteurs qui explorent le langage des sons. Il a déjà récompensé Elise Andrieu, Caroline Bastin, Sébastien Peter, Ric Carvalho et Théo Boulenger.

Rue

  • Une rue de Nancy, depuis 1998, dans le quartier de Beauregard, porte son nom.

Influences

  • Jean-Michel Jarre, qui l'a côtoyé au GRM, le considère comme une de ses influences majeures.

Liens externes

  • Ressources relatives à la musique :
    • AllMusic
    • Bandcamp
    • BRAHMS
    • Discogs
    • Grove Music Online
    • Last.fm
    • MusicBrainz
    • Muziekweb
    • Rate Your Music
    • Songkick
  • Ressources relatives à l'audiovisuel :
    • Allociné
    • IMDb
  • Ressource relative au spectacle :
    • Les Archives du spectacle
  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Ressource relative à la recherche :
    • Persée
  • « Portail de la musique contemporaine »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le Portail de la musique contemporaine — Extraits d’archives sonores d’œuvres de Pierre Schaeffer
  • Livres biographiques et analytiques sur Pierre Schaeffer par Martial Robert
  • Portrait de Pierre Schaeffer en vidéos sur ina.fr
  • Pierre Schaeffer sur Leonardo/Olats
  • Pierre Schaeffer et le service de la recherche de l’ORTF par Yves-Marie Mahé et Nathalie Salles pour L'Atelier de la création sur France Culture

Notes et références

Notes
Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Propos recueillis par Gilbert Salachas, « Pierre Schaeffer : L'important pour la jeunesse, c'est de ne pas chercher à réinventer les deux générations qui l'ont précédée », Téléciné no 154, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), , p. 40-46, (ISSN 0049-3287).
  • Marc Pierret, Entretiens avec Pierre Schaeffer, 1969, éditions Pierre Belfond. 193 p.
  • Guide des objets sonores, Pierre Schaeffer et la recherche musicale par Michel Chion, 1983, coédition Buchet/Chastel & INA/GRM.
  • Sur les traces de Pierre Schaeffer par Jocelyne Tournet-Lammer, 2006, éditions La documentation française & lNA.
  • Dallet, Sylvie et Brunet Sophie, Pierre Schaeffer, itinéraires d'un chercheur /Pierre Schaeffer, a Career in Research, Éditions du Centre d'Études et de Recherche Pierre Schaeffer, Montreuil, 1997.
  • Dallet, Sylvie, (sous la direction de) Veitl, Anne, Du sonore au musical : cinquante années de recherches concrètes (1948-1998), L'Harmattan, 2001.
  • Robert, Martial, Pierre Schaeffer : des Transmissions à Orphée, Préface de Jean-Claude Risset, Paris, éd. L'Harmattan, 1999, 13 planches, discographie, sonographie, filmo-vidéographie, 181 références bibliographiques schaefferiennes, 416 p.
  • Robert, Martial, Pierre Schaeffer : d'Orphée à Mac Luhan, Préface de André-Jean Tudesq, Paris, éd. L'Harmattan, 2000, 18 planches, sonographie, filmo-vidéographie, 294 références bibliographiques schaefferiennes, 496 p.
  • Robert, Martial, Pierre Schaeffer : de Mac Luhan au fantôme de Gutenberg, Préface de Bernard Vecchione, Paris, éd. L'Harmattan, 2002, 18 planches, sonographie, filmo-vidéographie, chronologie générale de Pierre Schaeffer dans son siècle, 249 références bibliographiques schaefferiennes, 464 p.
  • Tournet-Lammer, Jocelyne., Sur les traces de Pierre Schaeffer : Archives 1942-1995, INA, 473 p., 2006.
  • Pierre Schaeffer (1910-2010), ouvrage collectif sous la direction de Martin Kaltenecker et Karine Le Bail, CNRS-éditions/Imec, .
  • Proceedings of the International Conference Pierre Schaeffer : mediArt, ouvrage collectif sous la direction de Dalibor Davidović, Nikša Gligo, Seadeta Midžić, Daniel Teruggi et Jerica Ziherl, Préface de Ivo Malec, articles de Daniel Teruggi, François Bayle, Jocelyne Tournet-Lammer, Dieter Kaufmann, Francisco Rivas, Seadeta Midžić, Marc Battier, Brian Willems, Leigh Landy, Cedric Maridet, Hans Peter Kuhn, Tatjana Böhme-Mehner, Jelena Novak, Martin Laliberté, Suk-Jun Kim, Darko Fritz, Stephen McCourt, Biljana Srećković et Elzbieta Sikora, Rijeka, éd. Muzej moderne i suvremene umjetnosti, 2011, 160 p.
  • Portrait polychrome de Pierre Schaeffer, ouvrage collectif, avec 4 CD de la voix de Pierre Schaeffer, Paris, éd. Ina-GRM, 2008.
  • Ouïr, entendre, écouter, comprendre après Schaeffer, sous la direction de Denis Dufour, articles de Jean-Christophe Thomas, Makis Solomos, Hugues Dufourt, Jean-François Augoyard, Régis Renouard Larivière, Jean Molino, François Bayle, Jean-claude Risset, Francis Dhomont, Denis Smalley, Lelio Camilleri, Marcel Frémiot, Pierre Schaeffer, Sylvie Dallet, Bibliothèque de recherche musicale, Ina/GRM, Paris, Buchet/Chastel, 1999.
  • Évelyne Gayou, Le Groupe de Recherches Musicales, cinquante ans d'histoire, éditions Fayard, 2007.
  • Anne Marie Laulan et Jacques Perriault (coordination), Les racines oubliées des sciences de la communication, revue Hermès, no 48, éditions CNRS, 2007, réédition en 2010 dans Les essentiels d'Hermès, avec un article de Jocelyne Tournet sur Pierre Schaeffer, CNRS éditions, .
  • Anthony Humbertclaude, Bidule en Ut, section Grandes destinées, revue Nancy Tourisme, no 10, édité par l'Office du Tourisme de la Métropole du Grand Nancy, 2018-2019.
  • (en) « Textes de Pierre Schaeffer à propos d'Otavio Henrique Soares Brandão », sur Issuu (consulté le ).
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Source : Article Pierre Schaeffer de Wikipédia

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Livres

Afficher "Stéphane Cordier. La Radio, reflet de notre temps . Introduction de Pierre Schaeffer..."

CD

Afficher "Solfège de l'objet sonore"