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Avis de lecteurs

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Tristan Bernard

 
Tristan Bernard. Source: Wikipedia

Tristan Bernard, nom de plume de Paul Bernard, né à Besançon le et mort à Paris 7e le , est un romancier et auteur dramatique français. Il est célèbre pour ses mots d'esprit.

Biographie

Tristan Bernard naît le , à Besançon dans le Doubs, du mariage de Myrthil Bernard, négociant puis entrepreneur de travaux publics, et d'Emma Ancel, tous les deux de religion juive.

Il quitte Besançon pour Paris à l'âge de quatorze ans et fait ses études au lycée Condorcet, puis à la faculté de droit. Il fait son service militaire dans les dragons, auxquels le général Boulanger, alors ministre de la Guerre, a autorisé le port de la barbe. Après son service, Tristan Bernard décide de la conserver. Il se destine à une carrière d'avocat, « mais n'exerce jamais », préférant se tourner vers les affaires et prendre la direction d'une usine d'aluminium à Creil. « Il se libère rapidement de cette fonction pour se consacrer à ses deux passions : l'écriture et le vélo (il est un temps directeur du vélodrome Buffalo » à Neuilly-sur-Seine (Toulouse-Lautrec l'y a peint en 1895). Plus tard, il dirige Le Journal des vélocipédistes.

En 1891, alors qu'il commence à collaborer à La Revue blanche, il prend pour pseudonyme « Tristan », le nom d'un cheval sur lequel il avait misé avec succès aux courses.

En 1894, il publie en collaboration avec Pierre Veber « un recueil de fantaisies, Vous m'en direz tant ! » et, l'année suivante, sa première pièce, Les Pieds nickelés, un triomphe qui détermine une longue carrière de dramaturge à succès. Plusieurs de ses pièces seront d'ailleurs adaptées au cinéma.

En 1904, il fait partie de la première rédaction de L'Humanité, le journal de Jean Jaurès. Par quelques articles, il contribue en 1917 aux débuts du Canard enchaîné. Il préside les banquets pour les numéros-anniversaires du journal en 1931 et 1934. Il aurait, par ailleurs, inventé le jeu des petits chevaux.

Proche de Léon Blum, Jules Renard, Lucien Guitry, Paul Gordeaux, Marcel Pagnol, et de bien d'autres artistes, Tristan Bernard se fait connaître pour ses jeux de mots, ses romans et ses pièces, ainsi que pour ses mots croisés. Il contribue aussi largement au genre policier par son recueil Amants et Voleurs (1905), mais aussi avec plusieurs romans : L'Affaire Larcier (1907), Secrets d'État (1908), récit d'un complot contre le souverain de l'État imaginaire de Bergensland. Mathilde et ses mitaines (1912) met en scène la farfelue Mathilde Gourgeot qui préfigure le type de femme détective amateur qu'on retrouve beaucoup plus tard chez Erle Stanley Gardner, Maurice-Bernard Endrèbe et quelques autres. Le Taxi fantôme (1919) oppose un historien et un politicien véreux, qui briguent tous deux un poste d'académicien. Son avant-dernière contribution, Aux Abois (1933), écrite sous forme d'un journal intime, est sous-titrée Journal d'un meurtrier. Il publie un dernier roman policier avec Visites nocturnes (1934).

Humoriste facétieux, il ajoute une strophe aux Stances à Marquise de Pierre Corneille, reprise en chanson par Georges Brassens :

Pendant l'Occupation, il habitait rue Villaret-de-Joyeuse, menacé comme Juif, il se réfugie à Cannes où il vit à l'hôtel Windsor. À son ami, le scénariste Carlo Rim qui le presse de venir se cacher chez lui la nuit, il répond : « À mon âge, on ne découche plus ! » et d'ajouter : « Savez-vous que je figure dans le Petit Larousse ? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans le Petit Larousse ». Son ami Roland Dorgelès le presse aussi de venir se cacher chez lui à la campagne. Il est arrêté avec sa femme par les Allemands en septembre 1943 alors qu'il venait d'acheter les billets de train pour le rejoindre. Arrêté en tant que juif, il est interné au camp de Drancy ; à son départ pour ce camp, il a cette phrase : « Jusqu'à présent nous vivions dans l'angoisse, désormais, nous vivrons dans l'espoir. »

Il est libéré le grâce à l'intervention de Sacha Guitry et de l'actrice Arletty. Il avait refusé une première fois sa libération, ne voulant pas laisser sa femme, Mamita. Il confie à l'avocat Maurice Garçon : « Je n'ai jamais aimé apprendre l'histoire mais cet embêtement n'est rien auprès de l'obligation de la vivre. »

Son petit-fils François-René, l'un des fils de Jean-Jacques, est arrêté comme résistant et déporté à Mauthausen où il meurt ; Tristan Bernard ne se remet jamais de cette disparition.

Mort à Paris le au 43, rue Charles Floquet (une plaque lui rend hommage) dans le 7e arrondissement, Tristan Bernard est inhumé au cimetière de Passy (16e arrondissement), dans la 10e division. Suzanne Rebecca Bomsel, sa première épouse meurt en 1928 et Agathe Marcelle Reiss, « Mamita », sa seconde épouse, qui repose avec lui, en 1952.

Famille

Tristan Bernard se marie le dans le 3e arrondissement de Paris, avec Suzanne Rebecca Bomsel, se déclarant à cette occasion avocat à la cour d'appel. Il a trois fils de cette union. Le premier, Jean-Jacques, est un auteur dramatique, promoteur du « théâtre du silence» (Martine), qui témoigna également sur l'univers concentrationnaire (Le Camp de la mort lente, Le Pain rouge). Le deuxième, Raymond, est un réalisateur de cinéma, avec notamment en 1934, Les Misérables, la première version cinématographique sonore, en noir et blanc, une des plus fidèles adaptations en trois volets. Le cadet, Étienne, professeur de médecine, phtisiologue, contribue à la promotion de la vaccination et la diffusion du BCG.

Tristan Bernard est par ailleurs le beau-frère du dramaturge Pierre Veber et de Paul Strauss, sénateur de Paris.

Il est l'oncle du journaliste et scénariste Pierre-Gilles Veber et du scénariste Serge Veber, le grand-oncle du cinéaste Francis Veber et l'arrière-grand-oncle de l'écrivaine Sophie Audouin-Mamikonian.

Veuf, il épouse, en secondes noces, Agathe Marcelle Reiss, le dans le 17e arrondissement de Paris.

Il séjourne dans les années 1930, en famille, dans sa villa au Touquet-Paris-Plage.

Hommages

  • Buste de Paul Bernard dit Tristan Bernard, œuvre de Josette Hébert-Coëffin (1907 - 1973) est situé sur la place Tristan-Bernard (17e arrondissement de Paris), nommée en sa mémoire en 1953 sur des portions des rues d'Armaillé, Saint-Ferdinand, Pierre Demours et Guersant, de chaque côté de l'avenue des Ternes.

Distinctions

Tristan Bernard est nommé chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur en 1903, officier en 1913, commandeur en 1928 et élevé à la dignité de grand-officier en 1939.

Mots d'esprit

  • À propos de sa naissance dans la même ville que Victor Hugo :
    • « Nous sommes nés tous les deux à Besançon, tous les deux dans la Grand-Rue, lui au 138, moi, plus modestement, au 23. »
  • À propos de l'invasion allemande pendant la Seconde Guerre mondiale :
    • « En 1914, on disait « on les aura », eh bien maintenant, on les a. »
    • « Comme c'est triste d'avoir si peu d'occupation dans un pays si occupé. »
    • « Tous les comptes sont bloqués, tous les Bloch (prononcer Bloc) sont comptés. »
    • À sa femme après son arrestation par les Allemands : « Jusqu'à présent nous vivions dans l'angoisse, désormais, nous vivrons dans l'espoir. »
  • À son départ pour le camp de déportation,
    • « De quoi avez-vous besoin M. Tristan Bernard ?
      —D'un cache-nez. »
  • « La mort, c'est la fin d'un monologue. »
  • « Il vaut mieux ne pas réfléchir du tout que de ne pas réfléchir assez. »
  • « Un jour on verra surgir à l’horizon des menaces de paix. Or nous ne sommes pas prêts. » (Le Poil civil, 1915).

Tristan Bernard est également connu pour ses grilles de mots croisés, pleines d'esprit et de malice. Contrairement à une idée reçue, ce n'est pas à lui que l'on doit cette définition en 8 lettres, « Vide les baignoires et remplit les lavabos » (réponse : l'entracte), mais à Renée David. En revanche, on lui doit bien celles-ci : « Ne reste pas longtemps ingrat » (réponse : l'âge), « Lève son drapeau en signe de liberté » (réponse : un taxi), « Suit le cours des rivières » (réponse : un diamantaire) et « Moins cher quand il est droit » (réponse : un piano).

Tristan Bernard, un grand absent de l'Académie française, qui aimait dire : « Je préfère faire partie de ceux dont on se demande pourquoi ils ne sont pas à l’Académie plutôt que de ceux dont on se demande pourquoi ils y sont. »

Œuvres

Romans et nouvelles

  • X..., roman impromptu, écrit en collaboration avec George Auriol, Georges Courteline, Jules Renard, Pierre Veber (1895)
  • Mémoires d'un jeune homme rangé (1899)
  • Un mari pacifique (1901)
  • L'Affaire Larcier (1907)
  • Secrets d'État (1908)
  • Deux amateurs de femmes (1908)
  • Le Roman d'un mois d'été (1909)
  • Nicolas Bergère, joies et déconvenues d'un jeune boxeur (1911)
  • Mathilde et ses mitaines (1912)
  • Le Taxi fantôme (1919)
  • L'Enfant prodigue du Vésinet (1921)
  • Le Jeu de massacre (1922), recueil de nouvelles
  • Corinne et Corentin. Roman de mœurs et d'aventures à portée sociale intermittente (1923)
  • Féerie bourgeoise (1924)
  • Les Moyens du bord (1927)
  • Le Voyage imprévu (1928)
  • Hirondelles de plages (1929)
  • Paris secret (1933)
  • Aux abois : journal d'un meurtrier (1933)
  • Visites nocturnes (1934)
  • Robins des Bois (1935)

Théâtre

  • Les Pieds nickelés, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre de l'Œuvre, - Réédition De Varly en 2018
  • Allez, messieurs ! pièce en 1 acte, Paris, Théâtre de l'Odéon,
  • Le Fardeau de la liberté, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre de l'Œuvre,
  • Franches Lippées, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre du Champ-de-Foire,
  • Silvérie, ou les Fonds hollandais, pièce en un acte, en collaboration avec Alphonse Allais, Paris, Théâtre des Capucines,
  • Le Seul Bandit du village, vaudeville en 1 acte, Paris, Théâtre des Capucines,
  • Une aimable lingère, ou Chaque âge a ses plaisirs, proverbe de château, Paris, Théâtre des Mathurins,
  • L'Anglais tel qu'on le parle, vaudeville en 1 acte, Paris, Comédie-Parisienne,
  • Octave ou les Projets d'un mari, comédie en 1 acte, Paris, Grand-Guignol,
  • La Mariée du Touring-Club, vaudeville en 4 actes, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • Un négociant de Besançon, comédie en un acte, Paris, Théâtre des Mathurins,
  • La Petite Femme de Loth, opérette, Théâtre des Mathurins,
  • L'Affaire Mathieu, pièce en 3 actes, Paris, Théâtre du Palais-Royal,
  • Daisy, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre de la Renaissance,
  • Les Coteaux du Médoc, comédie en un acte, Paris, Théâtre du Vaudeville,
  • Le Captif, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre des Mathurins,
  • Triplepatte, comédie en 5 actes, avec André Godfernaux, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • La Peau de l'ours, 1 acte, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • Sa sœur, pièce en 3 actes, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • La Cabotine, pièce en 3 actes, avec Alfred Athys, Paris, Théâtre des Nouveautés,
  • Monsieur Codomat, comédie en trois actes, Paris, Théâtre Antoine,
  • Je vais m'en aller, comédie en un acte, 1908
  • Les Jumeaux de Brighton, pièce en 3 actes et 1 prologue, Paris, Théâtre Femina,
  • Le Poulailler, comédie en trois actes, Paris, Théâtre Michel,
  • Le Danseur inconnu, comédie en 3 actes, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • Le Peintre exigeant, Paris, Comédie-Française,
  • Le Costaud des épinettes, comédie en 3 actes, avec Alfred Athis, Paris, Théâtre du Vaudeville,
  • L'Incident du , comédie en 1 acte, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • Le Petit Café, comédie en 3 actes, Paris, Théâtre du Palais-Royal,
  • L'Accord parfait, comédie en 3 actes, avec Michel Corday, Paris, Théâtre Femina,
  • On naît esclave, pièce en 3 actes, avec Jean Schlumberger, Paris, Théâtre du Vaudeville,
  • Les Phares Soubigou, comédie en 3 actes, Paris, Comédie Royale,
  • La Gloire ambulancière, comédie en 1 acte, Paris, Comédie des Champs-Élysées,
  • Les Deux Canards, pièce en 3 actes, avec Alfred Athis, Paris, Théâtre du Palais-Royal,
  • Jeanne Doré, pièce en 5 actes et 7 tableaux, Paris, Théâtre Sarah-Bernhardt,
  • La Crise ministérielle, comédie en un acte, Paris, Comédie des Champs-Élysées,
  • Du vin dans son eau, ou l'Impôt sur le revenu, comédie en 1 acte, Paris, Comédie des Champs-Élysées,
  • Le Prince charmant, comédie en 3 actes, Paris, Comédie-Française,
  • L'École du piston, comédie en 1 acte, Paris, Théâtre Antoine,
  • Le Sexe fort, pièce en trois actes, Paris, Théâtre du Gymnase,
  • Les Petites Curieuses, pièce en 3 actes, Paris, Théâtre des Boulevards, 1920
  • Cœur de lilas avec Charles-Henry Hirsch, mise en scène André Brulé, Théâtre de Paris,
  • My Love... Mon amour, comédie en 4 actes, Paris, Théâtre Marigny,
  • Ce que l'on dit aux femmes, Théâtre des Capucines,
  • Le Cordon bleu, pièce inédite (1923)
  • Les Plaisirs du dimanche, comédie en 1 acte, Paris, Sporting Club,
  • L'École des quinquagénaires, comédie en un acte, en vers, Paris, Comédie-Française,
  • Un perdreau de l'année, comédie en 3 actes, Paris, Théâtre Michel,
  • Jules, Juliette et Julien, ou l'École du sentiment, comédie en 3 actes et un prologue, Paris, Théâtre de l'Œuvre,
  • L'École des charlatans, pièce en 4 actes, avec Albert Centurier, Paris, Théâtre de l'Odéon,
  • Langevin père et fils, comédie en cinq actes, Paris, Théâtre des Nouveautés,
  • Un ami d'Argentine, pièce en 4 actes, avec Max Maurey, Paris, Théâtre de l'Athénée,
  • Le Sauvage, comédie en quatre actes, Paris, Théâtre Tristan-Bernard,
  • La Partie de bridge, pièce en un acte, Paris, Théâtre de la Michodière,

Théâtre (pièces réunies) :

  • Théâtre (8 volumes, 1908-1939)
  • Théâtre sans directeur (1930)

Sketches radiophonique :

  • Le Narcotique ; La Morale et le Hasard ; Révélation ; Expédition nocturne ; La Maison du crime ; Une opération magistrale ; Le Triomphe de la science ; Le Coup de Cyrano ; Un mystère sans importance, Radio-Paris, 1930. Réédition De Varly en 2019

Adaptation au cinéma

  • 1915 : Jeanne Doré, d'après sa pièce, réalisé par René Hervil et Louis Mercanton
  • 1923 : L'Homme inusable, réalisé par Raymond Bernard
  • 1929 : Embrassez-moi, d'après sa pièce (coauteurs : Yves Mirande et Gustave Quinson), réalisé par Robert Péguy
  • 1931 : L'Anglais tel qu'on le parle, d'après sa pièce, réalisé par Robert Boudrioz
  • 1931 : Le Petit Café, d'après sa pièce, réalisé par Ludwig Berger
  • 1931 : La Fortune d'après sa pièce Que le monde est petit, réalisé par Jean Hémard
  • 1932 : Cœur de lilas, d'après sa pièce, réalisé par Anatole Litvak
  • 1932 : Le Cordon bleu, d'après sa pièce, réalisé par Karl Anton
  • 1932 : Embrassez-moi, d'après sa pièce, réalisé par Léon Mathot
  • 1934 : Le Voyage imprévu, d'après son roman, réalisé par Jean de Limur
  • 1934 : Les Deux Canards, d'après sa pièce, réalisé par Erich Schmidt
  • 1937 : La Course à la vertu, d'après sa pièce, réalisé par Maurice Gleize
  • 2005 : Aux Abois, d'après son roman, réalisé par Philippe Collin

Autres publications

  • Vous m'en direz tant !, avec Pierre Veber (1894)
  • Contes de Pantruche et d'ailleurs (1897)
  • Sous toutes réserves (1898)
  • Amants et Voleurs (1905), édition bibliophilique en 1927 illustrée par André Dignimont
  • Citoyens, Animaux, Phénomènes (1905)
  • Auteurs, Acteurs, Spectateurs (1909)
  • Les Veillées du chauffeur (1909)
  • Sur les grands chemins (1911)
  • Le Poil, organe en principe hebdomadaire des réserves de l'armée inactive, hebdomadaire (1915)
  • Souvenirs épars d'un ancien cavalier (1917)
  • Le Lion, cours texte dans l'hebdomadaire « Le Canard Enchainé » (1918)
  • Tableau de la boxe (1922)
  • Autour du ring : tableau de la boxe (1925)
  • Mots-croisés, cinquante problèmes (1925)
  • Nouveau recueil de cinquante problèmes de mots croisés (1930)
  • Les Parents paresseux (1932)
  • Voyageons (1933)
  • Compagnon du Tour de France (1935)
  • 60 années de lyrisme intermittent (1945), dont il offrit un exemplaire à Sacha Guitry avec cet envoi : "A mon vieil ami Sacha...qui m'a tiré - je ne l'oublierai jamais - des griffes allemandes. Tendrement". (no 118 du catalogue de la vente de la bibliothèque Sacha Guitry, 25/03/1976 - arch.pers.)
  • Nouveaux mots croisés, avec la collaboration posthume de Jean de La Fontaine (1946)
  • Vanille pistache, histoires choisies, illustration de Paul Georges Klein, avec un portrait de l'auteur par Henri de Toulouse-Lautrec, préface de Léon Blum (1947)

Pour approfondir

Bibliographie

  • Jean-Jacques Bernard, Mon père Tristan Bernard, Albin Michel, 1955 (OCLC 32105878)
  • Paul Blanchart, Tristan Bernard, son œuvre, portrait et autographe, document pour l'histoire de la littérature française, Éditions de la Nouvelle Revue critique, 1932 (OCLC 4563862)
  • Roland Dorgelès, Portraits sans retouche, Albin Michel, 1952 (OCLC 604137)
  • Olivier Merlin, Tristan Bernard, ou le Temps de vivre, Calmann-Lévy, 1989 (ISBN 2702116043 et 978-2702116043)
  • Claude Mesplède, Dictionnaire des littératures policières, vol. 1 : A - I, Nantes, Joseph K, coll. « Temps noir », , 1054 p. (ISBN 978-2-910-68644-4, OCLC 315873251), p. 216.

Articles connexes

  • La chanson Marquise

Liens externes

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Notes et références

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