Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Harvey Lavan Cliburn, plus connu sous le nom de Van Cliburn, né le à Shreveport, en Louisiane, et mort le à Fort Worth au Texas, est un pianiste américain, célèbre pour avoir remporté, en 1958 à Moscou, en pleine Guerre froide, la première édition du Concours international Tchaïkovski.
À l'âge d'un an, ses premières leçons de piano lui sont données par sa mère, Rildia Bee O'Bryan (qui elle a étudié le piano auprès d'Arthur Friedheim, un élève de Franz Liszt). Alors que Cliburn a six ans, sa famille déménage à Kilgore, au Texas. À douze ans, il remporte un concours de piano local qui lui permet de faire ses débuts sur scène avec le Houston Symphony Orchestra. À dix-sept ans, il entre à la Juilliard School où son professeur de piano, Rosina Lhévinne, le forme dans la grande tradition romantique russe. À vingt ans, Cliburn remporte le prestigieux Leventritt Award (), et fait ses débuts au Carnegie Hall.
Mais c'est véritablement son succès à Moscou qui le propulse à la gloire internationale. Organisé en par l'URSS, le premier Concours international Tchaïkovski était un événement destiné à démontrer la supériorité culturelle de celle-ci pendant la Guerre froide, sur la lancée de la victoire technologique du Spoutnik lancé dans l'espace quelques semaines auparavant. À la finale du concours, la lumineuse virtuosité de Cliburn dans le concerto pour piano n° 1 de Tchaïkovski et le n° 3 de Rachmaninov lui vaut une ovation debout qui dure bien huit minutes. Les juges soviétiques auraient été alors contraints de demander à Nikita Khrouchtchev la permission de donner le premier prix à cet Américain. « Est-il le meilleur ? » leur aurait demandé le dirigeant soviétique. « Alors donnez-lui le prix ! ».
Cliburn obtient donc le premier prix, devant le russe Lev Vlassenko, qui venait de remporter le premier prix du Concours Franz Liszt en , et le pianiste chinois Liu Shi-khun, deuxième ex-aequo, qui avait terminé quant à lui troisième du concours Franz Liszt en (ex-aequo avec le grand Lisztien, Lazar Berman dont l'enregistrement des Années de Pèlérinage est devenu légendaire de nos jours). Le pianiste russe Naum Shtarkman, complète ce podium. Le magazine TIME fait de l'événement sa couverture et titre « Le Texan qui a conquis la Russie ». Le retour de Cliburn aux États-Unis est célébré par une ticker-tape parade à New York, du jamais vu pour un interprète de musique classique.
Cliburn joue et enregistre tout au long des années , mais en , après la mort de son père et de son manager, Sol Hurok, il fait une pause dans la vie publique. En , il est invité à se produire à la Maison Blanche pour le président Ronald Reagan et le président soviétique Mikhaïl Gorbatchev, puis sera invité à ouvrir la saison du 100e anniversaire du Carnegie Hall. Il entreprend une tournée dans 16 villes en , commençant par une représentation du concerto de Tchaïkovski au Hollywood Bowl. Également en , Cliburn fait une apparition dans le dessin animé Iron Man (épisode Silence My Companion, Death My Destination). À la fin des années soixante-dix, il donne un nombre limité de performances acclamées par la critique et le public. Cliburn est apparu en tant qu'artiste de la série Pennington Great Performers avec l'Orchestre Symphonique de Baton Rouge en . En , il se produit au Interlochen Center for the Arts.
Il a joué pour des têtes royales et des chefs d’État de dizaines de pays et pour chaque président américain de jusqu'à sa mort.
Le , le porte-parole de Cliburn annonce que le pianiste souffre d'un cancer des os avancé. Mort le , à l'âge de 78 ans, il repose au Greenwood Memorial Park à Fort Worth.
Durant sa carrière, Van Cliburn utilise fréquemment des pianos Steinway & Sons. Il en a possédé plusieurs, dont des modèles D,,.
En 1962, Van Cliburn devient le conseiller artistique du Concours international de piano Van-Cliburn. Ce concours, nommé ainsi en son honneur, est créé par des professeurs de Fort Worth qui souhaite rivaliser avec le prestige du concours interntaional Tchaïkovski.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Van Cliburn de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00