Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Melvin Melvin James « Sy » Oliver (né le à Battle Creek – mort le à New York) est un arrangeur, trompettiste, compositeur, chanteur et chef d'orchestre de jazz américain. Sa mère était professeur de piano et son père jouait de plusieurs instruments : il s'était fait connaître en utilisant le saxophone à une époque où cet instrument était très peu utilisé en dehors des fanfares.
Oliver a quitté ses parents à 17 ans pour jouer avec Zack White et plus tard avec Alphonse Trent. Il chantait et jouait de la trompette.
En 1933 il rejoint l'orchestre de Jimmie Lunceford et contribue à de nombreux arrangements de l'orchestre, dont My Blue Heaven et Ain't She Sweet. En 1939, il rejoint l'orchestre de Tommy Dorsey comme arrangeur et devient ainsi le premier noir américain à occuper une place importante dans un orchestre blanc. Il accompagne la transition de l'orchestre de Dorsey du Dixieland au jazz moderne et convainc Buddy Rich d'intégrer l'orchestre. Son arrangement de On the Sunny Side of the Street a été un grand succès pour Dorsey, comme si cela avait été sa propre composition, Yes Indeed, un gospel sera enregistré plus tard par Ray Charles. Après avoir quitté Dorsey, il continua de travailler comme arrangeur indépendant et comme directeur musical pour Decca Records.
Le , il orchestre la version américaine de C'est si bon (Henri Betti, André Hornez, Jerry Seelen) et de La Vie en rose (Louiguy, Édith Piaf, Mack David) pour Louis Armstrong. À sa sortie, le disque obtient un succès mondial.
Dans les années 1970, il joue à nouveau de la trompette et dirige son propre orchestre, auquel le pianiste Cliff Smalls participe durant une dizaine d'années.
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Source : Article Sy Oliver de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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