"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Étienne Aignan, né le à Beaugency et mort le à Paris, est un administrateur, journaliste, écrivain, dramaturge et traducteur français.
Issu d'une famille de robe, il est le fils d'Étienne Aignan, greffier de l'élection de Beaugency, et de Judith Tournois de Bonnevallet. Il étudie au collège d'Orléans et montre, dès sa jeunesse, un goût prononcé pour la poésie. En 1792, il est élu procureur-syndic de ce district à l'âge de 19 ans. Emprisonné en 1793, il est libéré après le 9-Thermidor.
En 1800, il est nommé secrétaire général de la préfecture du Loiret. Puis il devient secrétaire général adjoint de la préfecture du Cher. En 1808, il occupe les fonctions d'aide des cérémonies de Napoléon Ier, puis celle de secrétaire à l'introduction des ambassadeurs, puis secrétaire général de la préfecture de Paris. Il collabore au journal La Minerve et écrit des tragédies. Ses œuvres sont jugées médiocres.
Élu, le , membre de la Classe de la Langue et de la Littérature françaises de l’Institut de France, en remplacement de Bernardin de Saint-Pierre, son discours de réception, prononcé le , est jugé médiocre et froidement accueilli. Il est nommé, par l'ordonnance royale du , membre de l’Académie française.
Il est l’auteur d'une traduction de l'Iliade et il traduit de l'anglais l’Essai sur la critique d'Alexander Pope et le Ministre de Wakefield d'Oliver Goldsmith ainsi que plusieurs autres romans. Il a, par ailleurs, publié des ouvrages littéraires et historiques. Beaucoup de bibliographes lui ont attribué la paternité de la tragédie en 3 actes en vers la Mort de Louis XVI, écrite en collaboration avec Berthevin, impr. 1793, in-8°, et qui lui a fait une réputation de courage pour l’époque où elle parut, est plus vraisemblablement de Barthez de Marmorières.
Jean Tulard le décrit comme un « obscur polygraphe », Tyrtée Tastet comme un « littérateur honnête et laborieux, mais d'un talent médiocre ».
Marié à Tullie Claudine Françoise Montanier (remariée à Jean-Louis Boigues), il est le beau-père d'Adolphe Schneider.
avec un choix des pièces de plusieurs autres théâtres, arrangées et mises en ordre, Chez Mme veuve Dabo, 1822, tome 7, p. 178-179.
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Source : Article Étienne Aignan de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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