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Louis Benoît Robert, né le à Ménerbes dans le Vaucluse et mort le dans cette même ville, est un général français de la Révolution et de l’Empire.
Il entre en service le . Le , il est nommé capitaine à la 71e demi-brigade de bataille. Il sert de 1794 à 1797 au sein de l’armée de Sambre-et-Meuse, et le , il est affecté à la 92e demi-brigade d’infanterie de ligne. En 1799, il rejoint l’armée d’Italie et est blessé à la bataille de Vérone le . En 1800, il passe à l’armée de l’Ouest, puis en 1803 à l’armée de Batavie. En , il est avec son régiment au camp d’Utrecht. L'année suivante, il fait partie des troupes commandées par Louis Bonaparte en République batave, avant de participer à la campagne de Prusse et de Pologne, à l'issue de laquelle il devient chef de bataillon au 70e régiment d’infanterie de ligne le .
De 1808 à 1814, Robert est affecté à l’armée d’Espagne et est fait chevalier de la Légion d’honneur le . Le de la même année, il est nommé colonel à la suite du 70e régiment de ligne, et le suivant, il est blessé au siège de Saragosse. Le , il prend le commandement du 117e régiment d’infanterie de ligne. En 1810, il se fait remarquer au siège de Lérida ce qui lui vaut la croix d’officier de la Légion d’honneur le . Créé baron de l’Empire le , il se distingue au siège de Tarragone où il est cité honorablement par le maréchal Suchet. Il est promu général de brigade le . Le 1er septembre, il prend le commandement de la 1re brigade de la 1re division d’infanterie à l’armée d’Aragon. Le , il devient gouverneur de Valence et reçoit sa promotion au grade de commandeur de la Légion d’honneur deux mois plus tard, le . Le , il prend le commandement de la garnison de Tortosa jusqu'en .
Lors de la Première Restauration, Robert est nommé commandant du département des Pyrénées-Orientales le . Il reçoit également la croix de chevalier de Saint-Louis le . Pendant les Cent-Jours, l’Empereur le confirme dans son commandement du département des Pyrénées-Orientales le . Il est mis en non activité le 1er septembre suivant avec le retour de la monarchie. Admis à la retraite le , il meurt le à Menerbes, dans le Vaucluse .
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Source : Article Benoît Robert de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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