Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
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Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Jean Denis Le Doyen, né le à Liège (Principauté de Liège), mort le à Le-Cap-Français (Saint-Domingue), est un général de brigade de la Révolution française.
Il entre en service le , comme volontaire dans le corps des carabiniers, et le , il est enrôlé dans le régiment de Dauphiné-infanterie. Il participe à la campagne en Corse en 1769. Il passe caporal le , sergent le , fourrier le , sergent major de chasseurs le , et il est congédié le . Le , il est sous-lieutenant au bataillon de garnison du Royal-infanterie, et le , il devient gendarme dans la compagnie de la Reine.
Le , il est nommé quartier-maitre du régiment Colonel-général des hussards, lieutenant le , capitaine le , et aide de camp du général Sheldon le . Le , il est élevé au grade d'adjudant-général lieutenant-colonel, et le il est fait chef de brigade. Il est promu général de brigade provisoire à l’armée des Alpes le , et le suivant il est suspendu de ses fonctions.
Relevé de sa suspension le , il est confirmé dans son grade le . De nouveau suspendu le , il est réintégré le suivant. Le , il est commandant à Luxembourg, et le , il est envoyé à l’armée des Alpes comme chef de l’état-major. Le , il prend le commandement du département des Hautes-Alpes, qu’il quitte le . Il est admis au traitement de réforme le .
Le , il est remis en activité à l’armée d’Italie, et le , il assure la fonction d’inspecteur aux revues. Le , il est désigné pour faire partie de l’armée de Saint-Domingue.
Il meurt de la fièvre jaune le au Cap Français.
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Source : Article Jean Doyen de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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