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Robert Margerit, né le à Brive-la-Gaillarde et mort le dans sa propriété de Thias sur la commune d'Isle à côté de Limoges, est un journaliste et écrivain français.
Après des études secondaires achevées à Limoges, tenté par le notariat, mais aussi par l'histoire, la littérature, la natation, l'équitation, la peinture, avant de devenir un romancier prolifique (nouvelles, soties, critiques d'art, théâtre, émissions radiophoniques), Robert Margerit est journaliste à Limoges dès 1931, et écrit notamment pour La Vie limousine.
En 1937, il épouse Suzanne Hugon, fille de l'historien et poète creusois Henri Hugon, et quitte Limoges pour Thias (commune d’Isle), dans une maison ancienne demeure d’Émile Montégut. Il s’interroge encore sur sa double vocation de peintre et d’écrivain.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il écrit dans L'Appel du Centre (qui remplace Le Populaire du Centre sous l'Occupation) et dans la revue maréchaliste Notre Province.
Avec Georges-Emmanuel Clancier et René Rougerie, il participe en 1945 à la fondation de la revue littéraire Centres.
À partir de 1948, il est rédacteur en chef du Populaire du Centre, où il restera chroniqueur après 1952.
Ami des écrivains Jean Blanzat, lecteur chez Gallimard, et Georges-Emmanuel Clancier, il est remarqué par Julien Gracq qui le tire de son oubli provincial dans son pamphlet de 1950 La Littérature à l'estomac :
« Le seul roman français qui m'ait vraiment intéressé depuis la Libération est un ouvrage obscur de Robert Margerit Mont Dragon. »
Georges-Emmanuel Clancier a fondé à Brive, en 1991, l'association des Amis de Robert Margerit,. L'homme politique limougeaud Robert Laucournet en fut l'un des animateurs jusqu'à sa mort.
L'association édite les Cahiers Robert Margerit. Son siège est à Isle (banlieue ouest de Limoges) depuis 1999.
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Source : Article Robert Margerit de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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