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Avis de lecteurs

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André Chénier

 
André Chénier. Source: Wikipedia

André Marie de Chénier, dit André Chénier, fils de Louis de Chénier et frère de Marie-Joseph Chénier, est un poète et journaliste français né le à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 7 Thermidor de l'an II () à 31 ans.

Sa poésie comprend des réécritures de poèmes antiques, des élégies personnelles, des poèmes philosophiques et des poèmes politiques marqués par le contexte révolutionnaire. L'œuvre inachevée de ce jeune poète du XVIIIe siècle, publiée progressivement à partir de 1819, a fait de lui une figure majeure de l'hellénisme en France et un inspirateur du romantisme.

Durant la période révolutionnaire, il entre dans les polémiques politiques. Héritier des Lumières, il est membre du parti constitutionnel, admire la Révolution de 1789 mais prend violemment position contre le jacobinisme mené par Robespierre, tout en méprisant les royalistes.

Biographie

Enfance et adolescence

André Chénier est né à Galata, quartier de Constantinople (aujourd'hui Istanbul en Turquie), d’une mère grecque (Elisabeth Lhomaca), et d’un négociant français, Louis de Chénier. La famille rentre en France en 1765, mais le père repart bientôt seul pour être consul au Maroc (ville de Safi). André fut élevé par sa tante Marie et l'époux de celle-ci, André Béraud, à Carcassonne, ou une cloche « l'Andréne » fut baptisée en son honneur à l'église Saint-Vincent. Il est admis en 1773 au Collège de Navarre, qui est ouvert sur les idées nouvelles : l'histoire et la géographie sont inspirées de L'Essai sur les mœurs de Voltaire, la philosophie inspirée du sensualisme de Condillac. Il s'y lie avec des fils de grandes familles, notamment Charles et Michel de Trudaine, ainsi que Louis et François de Pange, grâce auxquels il put ensuite fréquenter les milieux littéraires et aristocratiques ; plusieurs de ses poèmes sont dédiés à ces amis. Les Trudaine et les Pange sont par ailleurs proches de Turgot, des Lumières et des encyclopédistes. Tous ces amis ont Condorcet pour maître à penser.

Activités poétiques

Pour l'arracher à un amour malheureux pour une chanteuse de l'Opéra (sa Lycoris), on lui ménagea un stage d'élève officier à Strasbourg en 1782 ; mais il se vit fermer la carrière militaire comme roturier. Reportant désormais toute son ambition vers la poésie, quoique sans publier, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir « l’Homère des modernes ». Cependant, après un voyage en Suisse en 1784, il composa surtout des Élégies et des Bucoliques, où l'imitation des modèles antiques servait l'expression esthétique d'une inspiration orientée par sa passion pour la mondaine Michelle Guesnon de Bonneuil (appelée D'Azan ou Camille), puis par son amitié amoureuse pour la peintre italo-anglaise Maria Cosway née Hadfield, épouse de Richard Cosway, courtisée par l'ambassadeur américain Thomas Jefferson.

À partir de , au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il s'occupa plus activement de poèmes philosophiques et satiriques qui portent la marque du climat idéologique et politique de l'époque prérévolutionnaire ; mais sa situation précaire l'obligea à contenir sa combativité. Engagé comme ambassadeur privé du marquis de la Luzerne, ambassadeur de France en Angleterre, il partit le en compagnie de Maria Cosway, qui rentrait à Londres, où il resta en service jusqu'en 1790, tout en disposant chaque été d'un congé à Paris.

Journalisme

Il contribua au Journal de la Société de 1789 qui compta une quinzaine de numéros. À partir de 1791, il collabora, comme Michel Regnaud de Saint-Jean d'Angély et François de Pange, au Journal de Paris, organe du parti constitutionnel, où il condamna la Terreur de la Révolution dans des articles critiques contre Jacques Pierre Brissot, et d'autres plus véhéments contre les Jacobins, notamment Robespierre et Marat. Inquiété pour ses prises de position publiques, il réussit à sortir de Paris, après le , quittant le quartier du Sentier, où il résidait chez ses parents. Au moment des massacres de Septembre, il se rendit à Rouen, puis au Havre, d'où il aurait pu embarquer. Il refusa néanmoins d'émigrer et revint à Paris, afin de participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud. Il se replia au printemps 1793 à Versailles, d'où il se rendait souvent à Louveciennes où se trouvait la propriété de ses amis Lecouteulx. Discrètement amoureux de Françoise Lecouteulx, il composa pour elle la mélancolique série des Odes à Fanny.

Arrestation et condamnation

André Chénier est arrêté à Passy (sur l'actuelle rue Bois-Le-Vent) le alors qu’il rend visite à son amie, Adélaïde Piscatory, marquise de Pastoret. Venant de Versailles, il est accompagné d'Émilie-Lucrèce d'Estat qui, comme lui, a participé aux achats de votes de Conventionnels pendant le procès de Louis XVI Mlle d'Estat, maîtresse puis épouse de José Ocariz, l’ancien chargé d’affaires ayant rang d’ambassadeur espagnol à Paris avant la déclaration de guerre, qui a supervisé cette vaste opération de corruption, a conservé des papiers relatifs à cette affaire. Ce dossier très important qu'André Chénier a eu entre les mains est activement recherché par les comités de l’an II.

Sachant que Mlle d'Estat, dont le frère et la sœur viennent d’être guillotinés, est elle-même en grand danger, Chénier se met courageusement en avant, créant une espèce de confusion à l’occasion de laquelle Mlle d'Estat peut s’esquiver tandis qu’on l’emmène, lui, à la prison Saint-Lazare. Impliqué dans une affaire qui permet d’exécuter les suspects sans les entendre, il est condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, pour avoir « recelé les papiers de l'ambassadeur d'Espagne ». Il est également accusé comme « ex-adjudant-chef et chef-de-brigade » sous les ordres de Charles François Dumouriez d'avoir écrit « un mémoire contre des habitants de la commune de Breteuil » alors qu'en réalité, c'est son frère « Sauveur » Chénier qui en est l'auteur et qui est lui-même emprisonné à Beauvais.

À l'instar de Jean-Baptiste Coffinhal qui avait adressé à Antoine Lavoisier lors de son procès : « La République n’a pas besoin de savants, ni de chimistes », Fouquier-Tinville adressa à André Chénier la phrase suivante : « La République n'a pas besoin de poètes »

André Chénier est guillotiné le 7 thermidor, avec le poète Jean-Antoine Roucher et Frédéric de Trenck, deux jours avant l'arrestation de Robespierre. La veille de sa mort, il aurait écrit l'ode La Jeune captive, poème qui évoque la figure de sa muse, Aimée de Coigny.

S'adressant à Jean Antoine Roucher, il prononça ces paroles avant de monter sur l’échafaud : « Je n'ai rien fait pour la postérité », ajoutant en se désignant la tête : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! » ou : « C'est dommage, il y avait quelque chose là ! ». Son corps, parmi mille trois cents autres victimes de la Terreur et de la guillotine, est jeté place de la Nation, dans une fosse commune du couvent des Chanoinesses, plus tard devenu le cimetière de Picpus à Paris.

Il est aussi connu pour l'anecdote suivante : attendant son tour devant l'échafaud, il lit une pièce de Sophocle. Lorsque le bourreau l'appelle pour lui lier les mains, Chénier remet son livre en poche, non sans avoir corné la page,.

Son frère cadet, Marie-Joseph Chénier, écrivain, dramaturge, mena de pair une carrière politique. Après la mort d'André, les Royalistes se livrèrent à une violente campagne diffamatoire contre Marie-Joseph, le traitant de Caïn et l’accusant faussement, pour discréditer les Républicains, d’avoir laissé exécuter son frère.

Œuvres de Chénier

  • André Chénier, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, 1940, Bibliothèque de la Pléiade, édition de Georges Walter.
  • André Chénier, Poésies, Paris, Gallimard, 1994, coll. "Poésie", édition de Louis Becq de Fouquières, fac-similé de l'édition de 1872, (ISBN 2-07-032812-0).
  • André Chénier, Œuvres poétiques, tome 1 : Imitations et préludes. Art d'aimer. Élégies. Édition critique par Georges Buisson et Édouard Guitton, Paradigme, 2005.
  • André Chénier, Œuvres poétiques, tome 2 : Bucoliques. Epîtres et Poétique. L'Invention. Édition critique par Georges Buisson, Paradigme, 2010, édition de référence du jury de l'agrégation de Lettres.

Œuvres d’art inspirées de ses poèmes et de sa vie

  • Il est, avec Chatterton et Gilbert, l’un des trois auteurs « maudits » présentés par le Docteur Noir dans le Stello d’Alfred de Vigny.
  • À André Chénier par Victor Hugo, poème du livre I de Les Contemplations, 1856.
  • La Jeune Tarentine par Alexandre Schoenewerk, sculpture en marbre, 1871, 171 cm x 74 cm x 68 cm. Coll. Musée d'Orsay, Paris (France).
  • La Muse d’André Chenier par le sculpteur Denys Puech.
  • Sa destinée a inspiré l’opéra vériste d’Umberto Giordano sur un livret de Luigi Illica, Andrea Chénier, dont la première eut lieu à La Scala de Milan, le .
  • Alfred Bruneau a composé Chants antiques sur des poèmes de André Chénier (1927)
  • En 1910, Jean-Marie Mestrallet rédige un poème dramatique en quatre actes : André Cheniér,.
  • Torse de La Jeune captive par René Iché, sculpture en marbre, 1932, H. 64 cm. Coll. Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris, Paris (France).
  • La Jeune Tarentine par René Iché, sculpture en marbre, 1932-34, L. 85 cm. Coll. privée, New-York (États-Unis).
  • Dans ses Poèmes de Fresnes écrits en prison d'où il attend son jugement en 1945, Robert Brasillach compare sa situation à celle d'André Chénier.
  • Les Poèmes d'André Chénier ont fait l'objet d'une édition enrichie de huit lithographies et d'illustrations à la sanguine par Berthold Mahn (sans nom d'éditeur, Paris, 1955).
  • Le Pas du juge (2009), roman de Henri Troyat dont il est le personnage central, avec son frère Marie-Joseph et leurs parents (le père est Louis de Chénier).
  • La glorieuse imposture (2021), roman de Christophe Gaillard, dont André Chénier est le personnage principal et vecteur permettant de se plonger dans le système révolutionnaire français.

Hommages

À Paris, dans le 2e arrondissement, une rue Chénier existe depuis 1864, à quelques pas du 97 rue de Cléry où est apposée une plaque mémorielle.

Il existe un collège André Chénier :

  • à Marseille dans le 12e arrondissement ;
  • à Mantes-la-Jolie, ville du département des Yvelines ;
  • à Carcassonne dans le sud de la France ;
  • à Eaubonne, ville du département du Val-d'Oise ;
  • à Rabat au Maroc.

À Carcassonne encore, entre la gare et le centre-ville, un square bordé d'un mail porte également le nom d'André Chénier.

L'Institution Sainte-Marie d'Antony possède un amphithéâtre nommé André Chénier.

À Versailles, une rue André Chénier existe dans le centre-ville. Elle est l'une des quatre rues périphériques de la Place du Marché Notre-Dame. Sur un plan de 1854 cette rue s'appelait Rue des Fripiers, elle apparaît sous son nom actuel sur un plan de 1889.

Dans le département des Yvelines (78), une école primaire de Louveciennes porte son nom ainsi qu'une école maternelle de Montigny-le-Bretonneux

Une impasse existe en son nom aussi :

  • à Riom, ville du département du Puy-de-Dôme (63) ;
  • à Wasquehal, ville du département du Nord (59).

Le nom d’André Chénier a été donné à :

  • une avenue de Roubaix, ville du département du Nord (59) ;
  • une avenue de Limoux, ville du département de l'Aude (11) ;
  • une rue à Béziers (34) ;
  • une rue à Narbonne (11) ;
  • une allée à Achères, situé dans le département des Yvelines (78) ;
  • une rue et une école maternelle dans cette rue à Amiens, chef-lieu du département de la Somme (80) ;
  • une école maternelle et primaire dans la commune d'Antony ;
  • une rue limitrophe entre les communes de Massy et d'Antony ;
  • une rue à Houilles, commune du département des Yvelines (78) ;
  • une rue à Lyon, chef-lieu du département du Rhône (69) ;
  • une rue à Toulon, chef-lieu du département du Var (83) ;
  • une rue à Issy-Les-Moulineaux, commune du département des Hauts-de-Seine (92) ;
  • une rue à Saint-Nazaire commune du département de Loire-Atlantique (44) ;
  • une rue à Reims commune du département de Marne (51) ;
  • une rue à Saint-Martin-d'Hères, commune du département de l'Isère (38) ;
  • une rue à Saint-Gilles, commune du département du Gard (30) ;
  • un square à Montpellier (34).

Notes et références

Notes

Références

Annexes

Bibliographie

Ouvrages sur Chénier

  • Paul Dimoff, La vie et l’œuvre d'André Chénier, Paris 1936, Slatkine Reprints 1970.
  • Georges Walter, André Chénier, son milieu, son temps, Paris, Robert Laffont, 1946.
  • Jean Fabre, Chénier, l'homme et l'œuvre, Hatier, 1955.
  • Jean-Marie Gerbault, André Chénier, Paris, Seghers, 1958.
  • Catriona Seth, André Chénier, le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005.
  • Jean Goulemot, André Chénier : poésie et politique, (avec Jean-Jacques Tatin-Gourier), Paris, Minerve, 2005, vol.I, 219 p.  (ISBN 2-86931-113-3)
  • Catriona Seth et Agnès Steuckardt, André Chénier. Études sur les Imitations et préludes poétiques, Art d'aimer et Elégies, Neuilly, Atlande, 2005.
  • Venance Dougados et son temps, André Chénier, Fabre d'Églantine, actes du colloque international tenu à Carcassonne les 5, 6 et , (éd.) Sylvie Caucanas et Rémy Cazals, 1995, 222 p.  (ISBN 2-906442-12-7)
  • Henri Troyat, Le pas du juge ou la vie des frères Chénier, Paris, de Fallois, , 202 p. (ISBN 978-2-87706-682-2)

Articles

  • Yves Citton,
  1. « André Chénier et la dynamique constituante des affects », dans Jean-Noël Pascal (éd.), Lectures de Chénier : Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Presses universitaires de Rennes, 2005, p. 31-46.
  2. « André Chénier entre l’abeille et la harpe éolienne : enjeux poétiques et politiques de l’imitation inventrice » (Lire en ligne [PDF]).
  3. « Le dilemme du peintre affligé. André Chénier et la cartographie de l’élégiaque », Cahiers Roucher-André Chénier, no 25 spécial sur l’Élégie, 2006, p. 91-118.
  4. « Gémir en silence. Puissance des engagements hétérogènes d’André Chénier », Laurent Loty (éd), Littérature et engagement sous la Révolution française, Presses Universitaires de Rennes, 2007, p. 163-191.
  5. « La propriété poétique, c’est le vol de l’abeille. Éloge du copillage chez André Chénier », in Martial Poirson, Christian Biet et Yves Citton, Les Frontières littéraires de l’économie XVIIe-XIXe siècles, Desjonqueres, 2008, (ISBN 2843211085).
  • Joann Élart, « Une adaptation musicale de La Jeune captive par Vernier (1819) », in Catriona Seth, André Chénier. Le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005, p. 307-316.
  • Claude Perroud, « À propos d’André Chénier ; Sur un des Iambes d’André Chénier ; André Chénier et Duport-Dutertre ; André Chénier après le 10 août 1792 ; André Chénier à Versailles en 1793 ; Cinq lettres de Fanny, l’amie d’André Chénier », dans Études révolutionnaires, s. l., Bibliothèque du Bois-Menez, coll. « Textes oubliés / Études et mélanges de Claude Perroud ; 5 », , 325 p. (ISBN 978-2-490135-19-6, ISSN 2557-8715, lire en ligne), p. 20-89.
  • Catriona Seth, « J’écris ton nom », Lectures d’André Chénier. Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Elégies, sous la direction de J.-N. Pascal, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2005, p. 93-101.
  • Catriona Seth, « Les cheveux épars de la Muse », Europe no 921-922, janvier-, p. 219-236.
  • Catriona Seth, « André Chénier et Marceline Desbordes-Valmore : l’écho d’une voix fraternelle » in Cahiers Roucher - André Chénier no 9 (1989).
  • Émile Egger, L'hellénisme en France : leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Librairie académique Didier, 1869 (deux articles sur A. Chénier, pages 331 à 385) lire en ligne
  • Robert Brasillach, Chénier, Fresnes 1945, La Pensée française 1947.

Articles connexes

  • Histoire de la poésie française
  • Stello

Liens externes

  • Œuvres complètes, Paris, Baudouin frères, Foulon et Cie libraires, 1819.
  • Poésies choisies sur le site du Project Gutenberg, disponible sur le site du projet Gutenberg.
  • André Chénier article de Charles Maurras paru dans la Revue de Paris des et .
  • L’hellénisme en France, Emile Egger [1]
  • Poésies d'André Chénier [2]
  • Société des Amis de Roucher et André Chénier créée en 1980: siège social: mairie du XVIème Paris et www.assoc-roucher-chenier.fr
  • La Tribune de Louveciennes / Jacqueline Godefroy : « Dans les pas d’André Chénier, poète engagé (1762-1793) »

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Source : Article André Chénier de Wikipédia

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