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Jean David Benguigui (prononcé [bɛŋ.ɡi.ɡi]) est un acteur français né le à Oran en Algérie.
Jean Benguigui est le fils de Paul Benguigui et de Nelly Abécassis (1918-2007), juifs originaires d'Algérie. Il fréquente les mêmes établissements scolaires que son ami Pierre Benichou, plus âgé que lui de 6 ans.
À 14 ans, il découvre sa vocation d'acteur en assistant à la pièce de théâtre Tartuffe à Oran. En 1962, âgé de 18 ans, il part pour Toulouse et habite un pensionnat, tandis que ses parents et une de ses sœurs sont restés en Algérie. En 1963, il monte à Paris et fait du théâtre universitaire avec Patrice Chéreau dont il fait partie de la troupe.
Il commence sa carrière d'acteur de cinéma dès 1966.[réf. nécessaire]
Il est le père du chanteur Antoine Léonpaul. Il n'a pas de lien de parenté avec l'actrice Valérie Benguigui (1961-2013).
Il apparaît pour la première fois à l'écran dans Le Pacha, de Georges Lautner, puis dans un film consacré à des calvinistes, Les Camisards, de René Allio (1972). En 1976, il retrouve son pays d'origine dans La Question, de Laurent Heynemann, un drame, qui prend place en pleine guerre d'Algérie. En 1979, toujours dans une veine très dramatique, il incarne Jean-Jean dans La Dérobade.
Jean Benguigui fait une première échappée vers un registre plus léger, avec Buffet froid, de Bertrand Blier, en 1979. Deux ans plus tard, commence une collaboration fidèle avec le réalisateur Alexandre Arcady, sur le tournage du Grand Pardon. En 1983, ils se retrouvent pour Le Grand Carnaval.
En 1983, il joue aux côtés de Philippe Noiret et de Catherine Deneuve dans L'Africain. En 1986, il découvre l'univers comique de Francis Veber dans Les Fugitifs. Il fait également partie de l'équipe de Ripoux contre ripoux (1989).
Jean Benguigui double, en 1990, Joe Pesci dans Les Affranchis de Martin Scorsese. La même année, il devient connu du grand public en tenant le rôle principal dans la série télévisée Imogène.
Dans les années 1990, il joue dans les seconds rôles. Il apparaît dans le film policier Docteur M (1990), de Claude Chabrol. Il est Doga dans l'épopée de La Belle Histoire (1991), de Claude Lelouch. Dans la satire Ma vie est un enfer (1991), il incarne le voisin bougon du personnage joué par Josiane Balasko.
Il participe à Astérix et Obélix : mission Cléopâtre (2002), dans un rôle de client râleur. L'année suivante, il joue dans un autre film ambitieux, Le Boulet. En 2004, il est un doux père de famille dans Au bout du monde à gauche, de Avi Nesher.
En 2006, il interprète le rôle de « Mimoun » dans le film Nos jours heureux réalisé par Éric Toledano et Olivier Nakache. En 2006 et 2007, il joue le rôle de l'impresario Cartoni dans la nouvelle adaptation de l'opérette Le Chanteur de Mexico de Francis Lopez au Théâtre du Châtelet.
En 2010, dans Fatal, il incarne Tony Tarba, producteur véreux du rappeur Fatal, au côté de Michael Youn, ce dernier étant également réalisateur.
Il fait partie de l'équipe de Laurent Ruquier (On va s'gêner après avoir quitté On a tout essayé en 2006, et, désormais, Les Grosses Têtes).
En 2010, il participe à l'émission de Laurent Ruquier On n'demande qu'à en rire sur France 2 en tant que juré. À ce titre, il gagne en 2011 le « Gérard du membre d'un jury de tocards qui a toute légitimité à te juger vu comment il a brillamment réussi sa carrière » des Gérard de la télévision 2011. En 2014, il participe à L'Émission pour tous sur France 2,. Il est souvent moqué par ses collègues pour sa petite taille, dont il est le premier à rire.
Lors de l'élection présidentielle de 2012, Jean Benguigui soutient François Hollande. Il soutient Emmanuel Macron au second tour de celle de 2017.
Depuis 2010, Jean Benguigui est membre du jury de l'émission On n'demande qu'à en rire de Laurent Ruquier sur France 2. Il a parfois délaissé son siège de jury pour prendre part à des sketches :
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Source : Article Jean Benguigui de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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