Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Yves Boisset est un réalisateur français, né le à Paris.
Yves Boisset collabore à un certain nombre de revues spécialisées (Cinéma, Midi minuit fantastique), ainsi qu'à l'hebdomadaire Les Lettres françaises, et travaille avec Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier à la première édition (1960) de Vingt Ans de cinéma américain.
Dans les années 1970, il incarne un cinéma de gauche, s'inspirant souvent d’événements réels : la police (Un condé), l'affaire Ben Barka (L'Attentat), le racisme (Dupont Lajoie) pour lequel il demandera une co-écriture du scénario avec Jean-Pierre Bastid et Michel Martens, l'intrusion de la politique dans le judiciaire (Le Juge Fayard dit « le Shériff »). Il est également un des premiers à aborder la guerre d'Algérie (R.A.S.). Il adapte ou co-adapte par ailleurs plusieurs auteurs reconnus : Michel Déon et son Taxi mauve, Marie Cardinal avec André Weinfeld pour La Clé sur la porte, Jean-Patrick Manchette avec Folle à tuer, Jean Vautrin pour Canicule, Philippe Djian et Bleu comme l'enfer.
En 1976, il témoigne dans le documentaire Chantons sous l'Occupation d'André Halimi.
À partir du milieu des années 1980, il se consacre quasiment exclusivement à la télévision (son dernier long métrage de cinéma en date est La Tribu en 1990), avec des réalisations historiques : L'Affaire Seznec, L'Affaire Dreyfus, Le Pantalon (affaire Lucien Bersot, fusillé pour l'exemple), Jean Moulin, L'Affaire Salengro. Durant cette période, il ne réussit pas à réaliser Barracuda, un film policier co-écrit avec Jean-Patrick Manchette, ayant pour toile de fond le commerce officiel des armes,. Il subira beaucoup de pressions et finira par réécrire le scénario avec Jean Vautrin pour réaliser Canicule.
Ayant enquêté sur les massacres de membres de l'ordre du Temple solaire pour son film Les Mystères sanglants de l'OTS, il a été entendu comme témoin de la défense lors du procès du chef d'orchestre franco-suisse Michel Tabachnik. Il eut également un moment le projet de réaliser un documentaire consacré à l'affaire des « torturées d'Appoigny » (ou « affaire Dunand »), mais semble avoir mis fin à ses recherches du fait de pressions.
En 2011, il publie son autobiographie La Vie est un choix.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Yves Boisset de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00