Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Havok fait du trash. Il n'y a pas d'ambigüité sur la question : tout est à fond, martelé, brutale, hurlé, structuré,... la rage mise en musique. On pourrait dire d'Havok qu'ils ont les dignes héritiers des Slayer, Anthrax, Megadeth et Metallica, mais ce n'est pas une question d'héritage... C'est un engagement !
Pour faire simple, ça ressemble à ce groupe dont tout le monde ne connait que deux titres. Y en a un qui fait "tin... tin, tin, tin..., tin, tin,tin...". Mais si, c'était la B.O. de ce film où un boxeur devient un héro en boxant...
Et bien Night Flight Orchestra fait la même soupe et ça marche... Allez comprendre ?!
Il semble loin le temps des albums "Night of the stormrider", "Dark Saga" ou encore "Horror Show". Certes, Matt Barlow n'est plus au chant mais Stu Block le remplace avec brio... En fait, ce n'est pas une histoire de chanteur qui provoque un vent de nostalgie en écoutant ce dernier album d'Iced Earth. C'est plutôt une impression viscérale,... comment dire ?... la flamme n'y est plus ?... plutôt, la flamme est devenue flammèche ! C'est ça ! C'est un bon album, très classique pour le groupe, carré, propre, bien produit, les guitares fuzzent, la batterie matraque, tout est à sa place,... trop à sa place. On est peu surpris.
Même si le côté volontairement suranné de la pochette prête à sourire, il faut passer outre et se plonger sans réserve dans cet album capable de toucher un public beaucoup plus large que le rayon "Rock, hard-rock et affiliés" dans lequel il est rangé.
L'influence des pionniers du genre - Black Sabbath en premier lieu mais aussi Blue Öyster Cult ou même UFO - est indéniable, mais Lucifer distille un savant mélange hard-rock / heavy-metal d'une grande sobriété, à l'image du choix du titre de l'album "Lucifer II"... On fait guère plus simple :). Faut-il y voir un clin d’œil à Danzig et ses albums Danzig I, II, II, etc ?! Après tout, les thèmes sombres et la lenteur de certains tempos semble aussi évoquer ce groupe.
Bref, Lucifer est un condensé du hard-rock-heavy-metal des années 60-70 avec une qualité de production contemporaine...
Dans la même veine que ces prédécesseurs, ce nouvel album de No One Is Innocent suit les habitudes du groupe : riffs lourds, textes engagés, chant énergique, etc. Les puristes (comprendre : les fans de la périodes fusion/hardcore de No One) seront déçus : les touches d'électro sont trop petites, les mélodies couvrent les rythmes,... on tend vers du rock. Mais cela reste brutal ! Il n'y a pas de doute : c'est bien du No One ! C'est frontal. On le prend en pleine face. Les oreilles bourdonnent et Kemar écrit toujours les textes au poignard plutôt qu'à la plume. Il se complait à les scander haut et fort de sorte à imprégner les esprits, à amorcer la révolte.
Voici le 5ème album des Canadiens de Kobra And The Lotus. S'il ne déchaîne pas les foules, il dénote par rapport aux autres productions du groupe par son équilibre entre heavy metal (étiquette officielle du groupe) et pop-rock. Paige Kobra mène son "band" avec brio en s'appuyant sur ses grandes capacités vocales. En fait un bon album pour découvrir ce groupe...
L'hommage, ou tribute, est toujours un exercice difficile car il faut trouver le bon équilibre entre la réinterprétation et l'imitation sans sombrer dans la caricature... sans sombrer tout court.
Cette compilation a pourtant d’excellents arguments : des titres célèbres, un casting de qualité, etc. Elle pèche pourtant par une production plutôt médiocre (un peu "garage") et des artistes qui semblent muselés.
Bref, ce n'est pas l'hommage du siècle.
Attention, immersion totale dans l'Italie des années 70 ! Entre la mafia, les Brigades rouges, la prostitution, la drogue et autres trafics, la corruption, ce film dresse le portait d'une bande de petits voyous partis à la conquête de la Ville éternelle.
L'ensemble est savamment dosé : la violence inhérente au sujet est égrainée tout au long de l'histoire cohabitant avec des personnages aussi attachants qu'effrayants. Il n'y a pas de place à la caricature.
C'est un instantané d'une société et d'une époque, un roman épique et tragique...
Au cœur du coup d’État militaire de Pinochet, Daniel, jeune Allemand étudiant au Chili, est enlevé par la police secrète et enfermé à Colonia Dignidad. Sa petite amie Lena, une hôtesse de l'air de la Lufthansa, part à sa recherche dans l'espoir de le libérer.
Si le résumé du scénario peut sembler très convenu, ce film marque par sa très belle réalisation, notamment autour du travail de la lumière, et sa mise en lumière de cette période méconnue de l'histoire chilienne. En Europe, beaucoup ont oublié ou n'ont jamais entendu parlé de la Colonia Dignidad, établissement agricole reclus et sectaire qui est devenu un camp d'internement clandestin pour les opposants à la dictature.
Glorification du travail, eugénisme, torture,... seront le lot quotidien de Colonia Dignidad.
Foncez ! Il ne faut absolument pas se laisser effrayer par la couverture et son côté "la pâtisserie est un art, mon cher"... Ce livre, très bien détaillé, comporte de nombreuses recettes relativement faciles à réaliser qui ne demandent pas d'équipement sophistiqué. Les plus aguerris pourront aussi exercer leurs talents avec des réalisations minutieuses et difficiles.
Bref, l'art de la pâtisserie (ou de la gourmandise) pour tous les goûts !
Cet ouvrage vient conclure une longue et éprouvante fresque sur les colonies françaises. L'heure est alors aux révélations : tous les maux de la terre sont dus au capitalisme ! La pauvreté, le racisme, l’intolérance, la colonisation, etc sont les fruits de l'impérialisme capitaliste...
Tout au long des 5 tomes de cette "Petite histoire des colonies françaises", les auteurs n'ont eu de cesse de se servir de l'histoire pour illustrer leur théorie politique (marxiste-léniniste). Or l'histoire est une science : elle n'est pas là pour agrémenter un argumentaire mais pour expliquer des faits par rapport à d'autres évènements, des contextes, des cultures, des sociétés, etc.
Avec ce tome 5, c'est donc l'apothéose de la mauvaise foi, un exercice de l'ordre du récit et en aucun cas un travail d'histoire.
Il faut le savoir : la géopolitique est une machine à mensonges ! Du coup, on en apprend de belles avec ce tome 4 : les dirigeants africains sont manipulés par les puissances occidentales (France et USA en tête), les élections en métropole sont pipées et les citoyens soutiennent des politiques oppressives malgré eux, les grands patrons et les universitaires sont complices, les politiciens et les juges sont corrompus, les journalistes travestissent la vérité, etc. Bref, un immense complot impérialiste couvre la Françafrique d'une chape de plomb !
Heureusement, on peut compter sur les auteurs de cette "Petite histoire des colonies françaises" pour faire la lumière sur ces évènements !
Nous y voici ! Les peuples opprimés se libèrent enfin du joug des puissances impérialistes qui les ont saignés, exploités, etc, etc. De la Guinée au Vietnam, les colons reculent devant des populations décidées à choisir leur avenir grâce au soutient des démocraties populaires russes et chinoises ! On ne rigole plus avec ce tome 3 car la décolonisation c'est du sérieux !
C'est la morale de ce tome dont l'pproche historique tend vers 0.
Le tome 1 n'était déjà pas très glorieux. Ce volume dresse le portrait des hordes sanguinaires de soldats français tour à tour pilleurs, voleurs, accapareurs, etc. Sans aucun recul, les faits sont sélectionnés afin de servir le discours préétabli des auteurs : C'est si facile l'histoire quand elle est faite d'images simples et malléables.
Sous couvert d'une petite histoire des colonies, les auteurs offrent ici un bon précis antimilitariste. Sans oublier aussi que la religion est "l'opium du peuple"...
Si l'idée de départ d'aborder l'histoire de la colonisation par le biais de l'humour semble intéressante, sa réalisation laisse un goût amer. En effet, outre l'usage anachronique de termes comme "colonie" ou "colonisation" (ex: l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant serait une colonisation), les auteurs n'ont de cesse de porter un jugement de valeur sur des évènements historiques sans tenir compte du contexte, de l'évolution des mentalités, etc. Cette vision rétrospective moralisatrice cherche davantage à prouver la naissance des "impérialismes" des XIXe et XXe siècles que de faire avancer la diffusion des connaissances historiques.
Cette histoire est tellement petite qu'elle fait la part belle aux préjugés et aux raccourcis.
Ouvrage absolument magnifique sur l'art de la pizza napolitaine. Tout est abordé : de la pâte à la dégustation en passant par les ingrédients, la technique, la cuisson, etc
Les photos sont tout aussi alléchantes que les recettes. On y découvre des pizza "classiques" mais aussi des plat plus étonnants comme la pizza fritta (!).
Délicieux !
Bienvenue dans l'univers du métal atmosphérique gothique ! Adieu (ou plutôt à Hadès) les guitares puissantes et rapides, le matraquage de la batterie ou encore la cavalcade de la ligne de basse ! Ici, c'est tout en douceur (ou déprime, au choix) : on lève le pied, on plane un peu, on se laisse porté par la mélancolie, etc.
Toutefois, le groupe arrive à jongler entre une descente aux Enfers et un espoir renaissant. C'est tout le mystère de Persephone...
...quand la caravane passe. Et là, j'ai même pas de quoi aboyer! En fait, ce CD ne me parle pas du tout : il aurait même tendance à me laisser indifférent. Peut-être un problème de culture musicale?
Dès la pochette de l'album, Omnia définit son opus comme "de la musique dans le style traditionnel d'un territoire" et comme quelque chose qui se tiendrait en dehors du champ d'application des religions révélées (judaïsme, christianisme, islam). Vaste programme ! De quoi titiller la curiosité...
On lance le CD et là, c'est le drame ! Certes, les morceaux sont sympathiques, agréables, bien écrits et il n'est pas question de remettre en cause les valeurs artistiques du groupe. Cependant, il y a une espèce de confusion des genres avec ce qui était annoncé en couverture : Omnia s'est créé une sorte de concept néo-celtique s’appuyant sur des instruments de tradition médiévale (on est pas à un anachronisme près!) et se patinant de folklore régionaliste mi-breton mi-irlandais. L'ensemble est emballé dans un habillage de cuir, de tatouages et de dents d'ours parce qu'il ne faut pas oublié que ces païens de Celtes sont des barbares.
Pour amateurs du genre...
Parfois, on essaye de réécouter un album. Il nous a déçu à la 1ère approche mais on lui laisse une 2nd chance... Et pour cet album éponyme de Masterplan, le verdict reste le même.
Naviguant entre un power metal à la Helloween et un glam metal à la Europe, le groupe tente tant bien que mal à sortir de l'ombre des 2 précédents. La chose est ardue (d'où le bénéfice du doute) et, malgré de louables efforts, Masterplan s'enlise dans des mélodies et des thèmes très (trop?) convenus.
Souvent, c'est avec un album live qu'on perçoit la qualité d'un artiste. Bluesman et guitar heroe, Fred Chapelier nous offre ici un florilège de son savoir faire : c'est un homme de scène avant tout !
Une mention spéciale pour le morceau en hommage à Gary Moore dont l'ombre bienveillante plane sur l'ensemble du live et sur le CD studio en bonus.
Seul bémol : au niveau de la production, ils ont oublié d'enregistrer le public (ou alors il est trop atténué).
Voilà une recette de piñata plutôt corsée ! Prenez une mesure de boogie-woogie, une dose de punk, un trait de métal, un zeste de jazz et compléter avec du rock. Ajoutez des glaçons d'opéra. Servir frappé au shaker électro et non à la cuillère !
PS : pour la déco, un petit palmier reggae, un piment frais de mariachi et un touilleur de chef d'orchestre complèteront votre plaisir !
Anathema fait parti de ces groupes en perpétuelle évolution (ou mutation, au choix) : né dans le death-doom, il flirte maintenant avec un rock progressif, atmosphérique et psychédélique (pas nécessairement dans cet ordre là). Ce peut être déroutant, notamment pour les fans de la 1ère heure...
Ce fait mis à part, Distant satellites exprime bien le dernier état atteint par le groupe : un concept album planant exécuté avec finesse et justesse. Du grand art !
Il est des albums qu'on aime sans savoir pourquoi. Left Lane Cruiser exerce un blues rock parfois approximatif, parfois matraqué, souvent saturé, relevant autant du western que du club de bikers ! C'est gras, c'est lourd,... mais c'est bon!
Big Daddy Wilson livre ici un album de blues relativement classique avec d'excellentes mélodies et des chansons très bien écrites. Le tout dans une ambiance intimiste.
Panorama complet de l'histoire de l'automobile française mettant en avant, marques après marques, des modèles emblématiques. On pourrait discuter certains choix de l'auteur occultant certaines auto au profit de modèles (modernes notamment) peu excitant. Il Y a aussi des oublis, des commentaires manquant parfois d’intérêt et des informations redondantes au sein d'un même marque.
Toutefois cette somme a le mérite de regrouper dans un même volume des marques oubliées, des modèles prestigieux et d'autres chargés de souvenirs. C'est un beau témoignage du patrimoine automobile français.
Beaucoup pensent (avec les mêmes préjugés que pour le Jazz ou la Musique classique) que le Blues est un genre obsolète limité à d'irréductibles aficionados et aux visites guidées de la Nouvelle Orléans. Eric Bibb n'a jamais fait parti de ceux-là !
Avec Blues people, il démontre une nouvelle fois que le Blues est bien vivant, qu'il peut s’imprégner de nouvelles influences et qu'il se réinvente sans cesse. Eric Bibb a composé un album riche où chaque collaboration (Popa Chubby, Glen Scott, etc) apporte des textures différentes. Un régal pour les oreilles !
Ce qui est bien avec Skunk Anansie, c'est qu'on est jamais déçu : au fil des albums, on découvre toujours une nouvelle facette du groupe, de nouvelle idée de composition, de nouvelles capacités vocales, etc. Mais la forte identité du groupe crée le lien entre tous ces albums et toutes ces compositions.
Il y a de la rage, de la douleur, de la joie, de l'espoir, de la faiblesse et de la puissance ; une sorte de cocktail émotionnel qui n'est peut-être pas au sommet sur cet album mais qui ne peut pas laisser indifférent.
Quand ils étaient petits, ces Suédois sont tombés dans les malles de souvenirs rapportés de Woodstock par leurs parents... ou plutôt grand-parents ! Ils sont tombés dedans, ça se voit à la pochette de l'album assez "psyché" et , surtout, ça s'entend : le son est chaud et rock, la batterie donne le tempo en rythme avec une basse bien présente, la guitare et le chant assure la mélodie. Il ne manque que le grésillement du vinyle et l'orgue Hammond pour se sentir propulsé dans les seventies.
Ce n'est toutefois pas un album nostalgique : la production est résolument moderne, la rythmique aussi et la voix originale.
Un blues assez classique mais attachant pour ces 10 titres qui s'enchainent facilement et qu'on a envie de réécouter sans cesse. On se croirait presque assis au milieu du studio d'enregistrement en attendant que le jour pointe...
La légendaire mécanique d'AC/DC est au rendez-vous : une voix à faire frémir, des rythmes qui font taper du pied, des guitares qui s'envolent... 100% pur jus de cambouis! La machine y croit encore mais comme tout vieux moteur elle manque un peu de répondant : avec un petit peu plus de punch ce serait parfait !
Bon album, agréable et assez diversifié... mais il manque quelque chose pour créer l'enthousiasme. Les participations de Jimmy Burns ou Loretta sont excellentes mais l'ensemble ne m'a pas complètement convaincu.
Un bon album mais qui tourne en rond. Est-ce un parti pris artistique ou les limites de l’œuvre? Je n'ai pas su distinguer.
Encore une aventure de Nicolas Le Floch où s'entremêlent intrigues de cour et faits divers. Bien écrit et fluide, ce roman nous plonge dan le Paris du 18ème siècle avec un certain délice. En version livre lu c'est tout aussi agréable!
Guère de surprise dans ce nouveau tome... Rien de bien palpitant.
Belle adaptation du roman de Jean Teulé où nous retrouvons le "roi de la St-Barthélemy" à cheval entre folie et raison d’État. Le trait aurait même mérité d'être encore plus grinçant!
Disons-le d'entrée de jeu, le rap n'est pas ma tasse de thé... probablement par manque de connaissance. Mais cet album est vraiment excellent avec une diversité musicale assumée et des textes sur fond de réalisme social. Une oeuvre artistique et engagée.
Ce n'est pas du Led Zeppelin!... Arrêtons aussi de cantonner Robert Plant à ce groupe mythique car voici un album qui affirme une fois de pus les talents de chanteur et de compositeur du bonhomme. L'univers de Robert Plant est riche de rock, de blues et de musique du monde, riche de guitare, de piano, de batterie et de banjo,... riche de poésie, de rêve et de voyage. Alors, ne réduisons pas cet artiste à Led Zep : il nous fait l'honneur de ne pas sombrer dans la caricature et d'offrir à chaque nouvel album solo une nouvelle création ; alors ouvrons les oreilles et profitons!
Auteur-compositeur californien de talent, Ty Segall offre ici un album surprenant comme à son habitude : un son rock et New Age, des textes travaillés, une excellente production. L'ensemble pourrait être ennuyeux à la longue mais au moment où on va pour zapper un nouveau morceau nous entraine ailleurs...
Personnage tout aussi fascinant qu'effrayant, Limonov provoque par sa vie romanesque et ses positions ambigües. Emmanuel Carrère en dresse un portrait sans détour, s'observant aussi comme pour rappeler que le biographe est toujours prisonnier de son temps. Le lecteur peut ainsi se faire sa propre opinion sur le charismatique Limonov, la Russie et le XXe siècle.
Très beau duo et magnifique interprétation : idéal pour ce réconcilier avec la musique classique!
Dire que cet album ne fut refusé par la maison de disque! Toujours surprenant, Christofer Johnsson, le charismatique leader, sort de son chapeau 16 reprises piochée dans... la chanson française : Poupée de cire poupée de son, Initiales BB, Les sucettes,... Et tout cela réarrangé à la sauce heavy metal symphonique!
On ressent des influences diverses dans cet album : du punk californien au trash metal... Le tout dans un dosage équilibré mais qui ne donne pas spécialement envie d'y retourner.
Quel guitariste ! Moins convaincu par ses talents de chanteur. Mais quel blues!
Voilà un groupe qui est certainement plus intéressant en concert qu'en album. Cet album live donne en fait envie d'aller voir le groupe partir "en live".
Sympathique et amusant pour les texte et l'interprétation. La musique, c'est secondaire. mais globalement, c'est un peu ennuyeux à la longue.
Je n'ai pas vérifié mais ce doit être le 1er live du groupe. La production est plutôt moyenne mais cela lui donne un certain charme : on a l'impression d'être au milieu du public. Une belle performance de Strato avec des morceaux bien servis!
Avis mitigé pour cet album. Il faut faire abstraction de la production (plutôt bonne si on tient compte des moyens d'un groupe local). Après, c'est un mélange de styles intéressant mais parfois mal articulés : on navigue dans l'univers du métal "né du chaos" sans toutefois toujours comprend où veut en venir le groupe...
Des influences arméniennes, hip-hop et tripop pour cet album. C'est la marque de fabrique de SOD et il le font à fond!
Une combinaison voix/guitare intéressante sur les 3 premiers morceaux puis ça devient lassant
Belle rencontre entre un vigneron et un auteur de BD où chacun initie l'autre à son univers. Récit quelque peu idyllique d'un monde (presque) parfait où les grands vins sans grandes étiquettes et les belles BD sans belle couverture (médiatique) seraient à la portée de tous... et pas seulement des initiés.
Mais ce petit brin d'utopie est d'un excellent cru à consommé sans modération!
De très belles nouvelles russes réunies sur ce CD : passion, haine, culpabilité, cupidité, amour, des textes profonds, tristes, surprenants, une critique de la société russe du XIXe,... Excellent!
Avec le t.2 l'intrigue tente de s'étoffer mais les ficelles sont prévisibles. En plus, de nombreuses fautes de latin...
Dans la continuité du tome 1 : humour grinçant et subtile, taillé comme un... silex!
Dialogue imaginaire entre un Pascal fiévreux, agressif et dévot et un Descartes dominant, paternaliste et moqueur... Nulle confrontation, nulle caricature mais un jeu entre deux esprits tiraillés par le doute, la raison, la foi, etc. L'ensemble reste fragile et laisse sur sa faim.
Fait partie de ces films qui partent du côté séduisant du danger (ici la drogue) pour révéler peu à peu à travers un flot d'émotions et de sensations le revers de la médaille (dépendance, souffrance, etc). A voir !
Certes ce ne sont pas les arrangements que le groupe espérait. Certes c'est un album imparfait. Mais quelle énergie! Sans compter son influence sur la naissance de Megadeth
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Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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