Recherche


Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Critique

 

Et le désert disparaîtra (Marie Pavlenko)

note: 5Conte écologique - 6 octobre 2020

Dans ce futur qui pourrait être le nôtre, l’eau a disparu et avec elle, la faune et la flore. La Terre est recouverte de déserts brûlants dans lesquels subsistent quelques rares oasis et les derniers arbres centenaires que les hommes abattent et vont revendre pour pouvoir s’acheter des matières premières : eau gélifiée, bouteilles d’oxygène et nourriture. L’ancêtre de la tribu ne cesse de clamer (mais n’arrive pas à se faire entendre des nouvelles générations) que coupés, les arbres comblent des besoins immédiats (en procurant de l’argent) mais que, protégés et multipliés, sur le long terme, ils produisent tout ce qui est nécessaire à la survie des êtres humains… et de la planète entière ! C’est évidemment un discours très écologique que nous propose ici Marie Pavlenko et un discours qui raisonne plus que jamais avec notre actualité et nos problématiques quotidiennes. C’est un court titre (une petite graine plantée) qui s’adresse aux lecteurs adolescents, cette nouvelle génération qui, comme l’héroïne du roman, ouvrira peut-être les yeux sur l’évidence, verra peut-être plus loin que l’enrichissement immédiat et permettra, on l’espère, de changer sa façon de vivre pour sauvegarder la planète.