Recherche


Avis de lecteurs

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

Les fantômes du vieux pays (Nathan Hill)

note: 5Drôle, époustouflant, attachant Joëlle, MMC - 6 mars 2018

Sur fond d’une fresque familiale, tout part d’un fait divers provoqué par une femme « Calamity Packer » pendant le meeting d’un candidat à l’élection présidentielle. On traverse ainsi la vie d’un jeune professeur d’université de Chicago, abandonné par sa mère à l’âge de 11ans. Des années 1968 « peace and love » et des manifestations étudiantes contre la guerre du Vietnam jusqu’à nos jours et les attentats du 11 septembre 2001.
Un premier roman époustouflant où l’auteur dépeint son pays, ses lois, ses excès avec drôlerie, flirtant avec l’ironie, mais aussi étonnement d’actualité avec des thèmes tels que l’immigration, le pouvoir, la haine, les effets des réseaux sociaux.
Nathan Hill rend ses personnages tellement attachants, réels que l’on se prend à les chercher autour de nous. Difficile de fermer ce livre et d’en tourner la dernière page.