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Avis de lecteurs

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Les aiguilles d'or (Michael McDowell)

note: 5Cette magnifique couverture n'est que le début d'un très bon moment de lecture. Marie, MMC - 23 janvier 2024

Le juge Stallworth est respecté et compte bien le rester, son ambition est de nettoyer New York du mal et plus particulièrement le quartier du triangle noir. Dans ce quartier [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

L'île au manoir (Estelle Faye)

note: 5Amitié, mystère et surnaturel Lou, MMC - 5 janvier 2024

Une île isolée, un jeune garçon avec une jambe dans le plâtre et une fille étrange qui apparaît sur la plage en pleine nuit et appelle à l’aide…
L’ambiance et le [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Critique

 

L'arbre du pays Toraja (Philippe Claudel)

note: 4Emouvant JM, MMC - 10 mars 2016

En Indonésie, il existe un arbre qui sert de sépulture aux enfants morts trop tôt. On les enferme dans le tronc creux et l’écorce se referme sur eux comme des bras forts et protecteurs.
Un cinéaste ( le narrateur) est profondément touché par cette coutume et par la façon d’appréhender la mort dans certaine population. De retour à Paris il apprend la maladie de son meilleur ami et cette nouvelle va l’entrainer dans une réflexion sur la mort, le corps, la maladie qui survient, autant de questions qui peuvent paraitre déprimantes mais elles sont traitées avec finesse et élégance.
Un très beau texte sur le milieu de vie, sur la façon d’envisager la mort pour mieux réinventer la vie qui nous reste.