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Avis de lecteurs

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Critique

 

La route de Beit Zera (Hubert Mingarelli)

note: 5En Israël JM, MMC - 12 juillet 2016

Le roman se passe en Israël, près de Beit Zera, non loin du lac de Tibériade. Stepan est juif, il vit seul avec sa chienne vieillissante, son univers se résume au travail, quelques balades avec sa chienne, la contemplation et le souvenir de son fils contraint à l’exil en Nouvelle Zélande. Il vit dans une grande solitude entrecoupée parfois par le visite de son ami Samuelsson . Un jour arrive un enfant d’une douzaine d’année, il vient à pieds de Beit Zera. Cet enfant arabe s’appelle Amghar, il n’inspire à Stépan que de l’indifférence, peu à peu un lien subtil et discret va naître entre le vieil homme et l’enfant par l’intermédiaire de ce chien. Un court roman sur fond de conflit israélo-palestinien. Un style épuré, des sentiments effleurés, un univers masculin tout en retenue