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Avis de lecteurs

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Critique

 

Térébenthine (Carole Fives)

note: 4Quelle place pour l'art ? Agnès MMC - 12 décembre 2020

La narratrice achète la revue Beaux-Arts et lit un article sur un peintre décédé, Luc, dont la peinture rencontre un grand succès et la voilà plongée dans ses souvenirs de cours à l'école des Beaux-arts avec ses amis Lucie et Luc.
Rentrés dans cette école avec un grand désir de peindre les voilà tous les trois confrontés à un monde où seuls ont droit de cité les ateliers mêlant son, vidéo et multimédia mais où la peinture et raillée et moquée, voire interdite par leurs enseignants et reléguée à une activité clandestine dans les sous-sols de l'école.
En même temps qu'elle évoque sa passion pour l'art et qu'elle réfléchit sur sa place dans notre société Carole Fives dresse un portrait sans concession sur son enseignement.