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Avis de lecteurs

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Critique

 

C'est moi qui éteins les lumières (Zūyā Pīrzād)

note: 2Un roman qui laisse un peu indifférent Mathilde - 8 août 2014

Clarisse s'enlise dans son quotidien de mère au foyer banale, entre un mari ronchon mais sans plus et des enfants mignons mais sans plus.
Ce qui donne un roman vraiment sans plus.

On attend. Mais tout est désespérément plat.
Les actions (qui n'en sont pas) sont tellement décrites que vous finissez par vous aussi vous ennuyer. Par exemple, on sait que les enfants en rentrant de l'école se lavent les mains et le visage, pas la peine de l'écrire/le sous-entendre à chaque fois.
En bref, entre stéréotypes (la mère de l'héroïne, un vrai cliché) et récit prévisible, ma déception balance.

Il est ceci dit bien dommage de réduire l’œuvre de Zoyâ Pirzâd à ce roman, ses recueils de nouvelles (comme Le goût âpre des kakis, ou bien le joli Un jour avant Pâques) sont bien plus réjouissants !