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Avis de lecteurs

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Critique

 

C'est moi qui éteins les lumières (Zūyā Pīrzād)

note: 2Un roman qui laisse un peu indifférent Mathilde - 8 août 2014

Clarisse s'enlise dans son quotidien de mère au foyer banale, entre un mari ronchon mais sans plus et des enfants mignons mais sans plus.
Ce qui donne un roman vraiment sans plus.

On attend. Mais tout est désespérément plat.
Les actions (qui n'en sont pas) sont tellement décrites que vous finissez par vous aussi vous ennuyer. Par exemple, on sait que les enfants en rentrant de l'école se lavent les mains et le visage, pas la peine de l'écrire/le sous-entendre à chaque fois.
En bref, entre stéréotypes (la mère de l'héroïne, un vrai cliché) et récit prévisible, ma déception balance.

Il est ceci dit bien dommage de réduire l’œuvre de Zoyâ Pirzâd à ce roman, ses recueils de nouvelles (comme Le goût âpre des kakis, ou bien le joli Un jour avant Pâques) sont bien plus réjouissants !