Recherche


Avis de lecteurs

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Critique

 

Le magasin des suicides (Olivier Ka)

note: 4excellente adaptation à découvrir! Victoria, MMC - 28 août 2014

Imaginez un magasin dans lequel on vend depuis dix générations tous les ingrédients et instruments imaginables pour bien se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère jusqu'au jour où Allan, le cadet, impose sa joie de vivre et son rire enfantin dans la boutique, au grand damne de ces parents. Olivier Ka signe ici un scénario très original et empli d'humour noir, à l'image du roman de Jean Teulé. Côté graphisme, Domitille Collardy, propose une mise en page surprenante : planches décousues et jeux chromatiques (des couleurs sombres et monotones constituent la majorité de l'album, mais des touches colorées font leur apparition dès lors que le petit Alan est mis en scène, ce qui accentue la différence entre l'humeur de ses parents et sa propre vision de la vie).