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Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Oshi no ko n° 1 (Aka Akasaka)

note: 5L'étoile du mensonge Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de Aka Akasaka qui nous met en avant le monde du spectacle qui est un milieu où on voit beaucoup de noirceurs. Un gros coup cœur personnel [...]

Critique

 

Oeuvre non trouvée

note: 3Tennis et mélodrame Victoria, MMC - 17 février 2015

« Happy » est un manga un peu incongru dans la bibliographie de Naoki Urasawa, qu’on connait surtout pour ses séries noires Monster, 20th Century Boys ou encore Billy Bat.
On y découvre l’histoire de Miyuki Umino, orpheline, jonglant entre les petits boulots et le lycée pour subvenir aux besoins de sa famille. Traquée par la mafia locale à qui elle doit une grosse somme d’argent, elle décide de reprendre le tennis, domaine où elle excellait plus jeune, en espérant passer professionnelle et gagner ainsi de quoi rembourser ses créanciers.
Je dois dire que je m’attendais à quelque chose de moins caricatural : pour moi les personnages présentés manquent cruellement d’épaisseur, sans parler de l’héroïne, gentille et naïve au possible. Bref, une montagne de bons sentiments au programme. Heureusement, la pâte graphique d’Urasawa est bien présente et c’est tout de même un plaisir de retrouver une telle justesse des mouvements et une telle finesse dans les expressions du visage dans un feuilleton sportif de ce genre !