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Avis de lecteurs

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

I hate Fairyland n° 1
Le vert de ses cheveux (Skottie Young)

note: 4génialement débile et déjanté Aurore - 29 décembre 2023

Vous aimez l'humour bien trash, et les récits totalement déjantés ? Alors foncez avec Gertrude à Fairyland ! Gertrude est coincée dans ce Fluntin de monde depuis 30 ans, et [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

C'est moi qui éteins les lumières (Zūyā Pīrzād)

note: 2Un roman qui laisse un peu indifférent Mathilde - 8 août 2014

Clarisse s'enlise dans son quotidien de mère au foyer banale, entre un mari ronchon mais sans plus et des enfants mignons mais sans plus.
Ce qui donne un roman vraiment sans plus.

On attend. Mais tout est désespérément plat.
Les actions (qui n'en sont pas) sont tellement décrites que vous finissez par vous aussi vous ennuyer. Par exemple, on sait que les enfants en rentrant de l'école se lavent les mains et le visage, pas la peine de l'écrire/le sous-entendre à chaque fois.
En bref, entre stéréotypes (la mère de l'héroïne, un vrai cliché) et récit prévisible, ma déception balance.

Il est ceci dit bien dommage de réduire l’œuvre de Zoyâ Pirzâd à ce roman, ses recueils de nouvelles (comme Le goût âpre des kakis, ou bien le joli Un jour avant Pâques) sont bien plus réjouissants !