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Avis de lecteurs

Oshi no ko n° 1 (Aka Akasaka)

note: 5L'étoile du mensonge Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de Aka Akasaka qui nous met en avant le monde du spectacle qui est un milieu où on voit beaucoup de noirceurs. Un gros coup cœur personnel [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Critique

 

Simple (Marie-Aude Murail)

note: 4Tendre et plein de charme Victoria, MMC - 26 mai 2015

Marie-Aude Murail retrace une fois de plus une histoire de famille : celle de Kleber, 17 ans, entrant en terminale et de Barnabé, 22 ans, surnommé Simple en raison de son QI d’un enfant de 3 ans. Persuadé que son lapin en peluche est vivant, il invente sans cesse de nouveaux mots et surveille de près les gros mots prononcés par son ainé. Pour éviter de confier son frère aux services sociaux comme le voudrait sa famille, Kleber décide de le prendre en charge. Ensemble, ils s’installent dans une colocation d’étudiants dont ils vont chambouler la paisible existence.
L’auteure aborde avec délicatesse le sujet des handicapés mentaux. On ne peut que sourire devant la naïveté de Simple, mais aussi devant l’intelligence de certaines de ses réflexions : au final c’est souvent lui qui juge ses compagnons avec le plus de lucidité. Loin d’être plombant, le roman comporte même quelques passages truculents, le comportement de Simple donnant souvent lieu à de drôles de quiproquos!
Un régal de tendresse, drôle et émouvant.