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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Oshi no ko n° 1 (Aka Akasaka)

note: 5L'étoile du mensonge Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de Aka Akasaka qui nous met en avant le monde du spectacle qui est un milieu où on voit beaucoup de noirceurs. Un gros coup cœur personnel [...]

Critique

 

Une saison à Longbourn (Jo Baker)

note: 3réécriture et variation de Jane Austen Victoria, MMC - 24 juillet 2015

Le roman emploi intelligemment « Orgueil et préjugés » de Jane Austen. C'est plus qu'une simple réécriture, c'est un double récit : on a d'un côté les événements du récit d'Austen, de l'autre celui des domestiques. L'idée de faire des employés de maison les personnages principaux est audacieuse et ma foi plutôt réussie. Jo Baker nous permet d’en apprendre plus sur la vie menée par les employés de maison, eux qui ne sont pas souvent mis en avant.
De plus, voir la famille Bennet à travers les yeux des domestiques modifie sensiblement notre perception d'eux, de leurs qualités et surtout de leurs défauts: ainsi, Mrs Bennet et ses filles Lydia ou Mary, voire même Mr Collins, sont en quelque sorte réhabilités, apparaissant de manière beaucoup plus touchante. Elizabeth et Mr Bennet sont quant à eux démystifiés. En effet, même si Lizzie fait preuve de bonté à l'égard de sa femme de chambre, allant même jusqu'à lui prêter des romans ou lui donner ses anciennes robes, on ressent toute la distance sociale entre les deux jeunes femmes.
A conseiller à tous les fans de l'ambiance de la série Downton Abbey !