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Avis de lecteurs

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Critique

 

Temps glaciaires (Fred Vargas)

note: 2Désillusion... Victoria, MMC - 8 août 2015

L'enthousiasme des retrouvailles avec le commissaire Adamsberg et ses troupes a fait place à un vrai sentiment de déception. Pourtant tous les ingrédients qui font habituellement le plaisir d’un bon Vargas sont au rendez-vous.
Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas et ce dernier épisode m’a laissée perplexe. Prenons d’abord les personnages, tellement poussés à l’extrême qu’ils en deviennent une caricature d’eux même (Danglard, très cultivé de base, se transforme carrément en professeur d’histoire…). Quant à l’intrigue, l’auteure nous fait voyager en Islande, puis nous fait revivre la période de la Révolution à travers un groupe de passionnés de Robespierre. Deux univers opposés qui s’entremêlent mais qui ne m’ont pas convaincue. Une histoire somme toute bien alambiquée, dont les multiples rebonds n’ont aucun intérêt, si ce n’est de perdre le lecteur dans une intrigue trop longue, dense et pleine d’invraisemblances.
Clairement pas le meilleur Vargas… Je n’ai pas pris le plaisir escompté, tant pis, ce sera sans doute pour la prochaine fois !