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Avis de lecteurs

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Oshi no ko n° 1 (Aka Akasaka)

note: 5L'étoile du mensonge Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de Aka Akasaka qui nous met en avant le monde du spectacle qui est un milieu où on voit beaucoup de noirceurs. Un gros coup cœur personnel [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

L'étrange disparition d'Esme Lennox (Maggie O'Farrell)

note: 5Vie volée et secrets de famille Victoria, MMC - 19 novembre 2014

A 16 ans, Euphemia Lennox est placée dans un hôpital psychiatrique. Soixante ans plus tard, l'établissement ferme et contacte la parente éloignée de la patiente, Iris Lockhart. Cette dernière ignore alors qu'elle a une grand-tante, personne n'en ayant jamais fait mention devant elle.
Si Maggie O'Farrell reste pudique dans la description des sentiments, le roman reste terriblement émouvant et décrit de façon saisissante la condition des femmes au début du 20ème siècle. Le style d'écriture est très particulier : l'histoire est racontée d'une traite, sans chapitres, alternant les voix de deux femmes de génération et d'éducation radicalement différente. Un roman d'une beauté troublante sur le poids des conventions et la complexité des liens familiaux. A lire absolument !