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Avis de lecteurs

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

Temps glaciaires (Fred Vargas)

note: 2Désillusion... Victoria, MMC - 8 août 2015

L'enthousiasme des retrouvailles avec le commissaire Adamsberg et ses troupes a fait place à un vrai sentiment de déception. Pourtant tous les ingrédients qui font habituellement le plaisir d’un bon Vargas sont au rendez-vous.
Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas et ce dernier épisode m’a laissée perplexe. Prenons d’abord les personnages, tellement poussés à l’extrême qu’ils en deviennent une caricature d’eux même (Danglard, très cultivé de base, se transforme carrément en professeur d’histoire…). Quant à l’intrigue, l’auteure nous fait voyager en Islande, puis nous fait revivre la période de la Révolution à travers un groupe de passionnés de Robespierre. Deux univers opposés qui s’entremêlent mais qui ne m’ont pas convaincue. Une histoire somme toute bien alambiquée, dont les multiples rebonds n’ont aucun intérêt, si ce n’est de perdre le lecteur dans une intrigue trop longue, dense et pleine d’invraisemblances.
Clairement pas le meilleur Vargas… Je n’ai pas pris le plaisir escompté, tant pis, ce sera sans doute pour la prochaine fois !