Recherche


Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

Moi et toi (Niccolò Ammaniti)

note: 2Retrouvailles S.BASSET - 10 février 2015

Le fil narratif, pour improbable qu’il peut paraître, est assez séduisant cependant, et sert plutôt bien le propos de l’auteur qui est d’aborder le mal être de toute une jeune génération et d’évoquer ses difficultés d’adaptation à la société dans laquelle elle vit.

Le roman de Niccolò Ammaniti est habilement construit. D’abord parce que le choix par l’auteur d’un cadre serré d’une unité de lieu (la cave de l’appartement familial), de temps (une semaine) et d’action (la rencontre de Lorenzo et d'Olivia) s’accorde intelligemment à la dramaturgie du récit. Ensuite parce que l’émotion, qui s’exprime à travers la rencontre incongrue de ce frère et de cette sœur presque inconnus l’un à l’autre, est bien dosée, sobre, et pudique.

Malgré tout, et même si le récit possède un rythme et une fluidité qui en fait une lecture très plaisante, je dois dire que la prose du roman, assez commune, m’a laissé un peu sur ma faim et ôte une partie de l’intérêt que j’ai pu trouver à ce roman.