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Avis de lecteurs

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

Simple (Marie-Aude Murail)

note: 4Tendre et plein de charme Victoria, MMC - 26 mai 2015

Marie-Aude Murail retrace une fois de plus une histoire de famille : celle de Kleber, 17 ans, entrant en terminale et de Barnabé, 22 ans, surnommé Simple en raison de son QI d’un enfant de 3 ans. Persuadé que son lapin en peluche est vivant, il invente sans cesse de nouveaux mots et surveille de près les gros mots prononcés par son ainé. Pour éviter de confier son frère aux services sociaux comme le voudrait sa famille, Kleber décide de le prendre en charge. Ensemble, ils s’installent dans une colocation d’étudiants dont ils vont chambouler la paisible existence.
L’auteure aborde avec délicatesse le sujet des handicapés mentaux. On ne peut que sourire devant la naïveté de Simple, mais aussi devant l’intelligence de certaines de ses réflexions : au final c’est souvent lui qui juge ses compagnons avec le plus de lucidité. Loin d’être plombant, le roman comporte même quelques passages truculents, le comportement de Simple donnant souvent lieu à de drôles de quiproquos!
Un régal de tendresse, drôle et émouvant.