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Avis de lecteurs

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Sur l'épaule des géants (Laurine Roux)

note: 5Un énorme coup de coeur ! Marie, MMC - 23 janvier 2024

Suivre cette famille sur 6 générations au fil des moments magiques de leur vie comme les plus tragiques est un vrai plaisir. On ne se perd jamais, notre curiosité est [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Critique

 

Orphelins 88 (Sarah Cohen-Scali)

note: 4Après-guerre et reconstruction Victoria, MMC - 2 août 2019

« Orphelins 88 » peut être considéré comme la continuité de « Max », un autre roman de Sarah Cohen-Scali. Tous deux abordent une facette méconnue de la Seconde Guerre mondiale : le programme Lebensborn, des centres dans lesquels les nazis tentaient de créer la race aryenne parfaite.
Cette fois, elle explique comment les SS enlevaient des enfants répondant aux critères aryens dans les pays de l’Est, pour les germaniser par la suite. Le petit Jo est l’un de ses enfants. Amnésique, nous le suivrons tout au long du roman dans sa quête d’identité.
Sans jamais tomber dans le pathos, l’autrice décrit avec brio les désastres qu’a causé la guerre sur les plus jeunes, le tout d’une écriture fluide et abordable. « Orphelins 88 » passionne autant qu’il fait horreur par moments, mais n’en reste pas moins un roman à la fois instructif et nécessaire.