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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Critique

 

Les oiseaux ne se retournent pas (Nadia Nakhlé)

note: 4Un roman graphique sombre, poétique et onirique. Angélique, MMC - 20 août 2021

Ce roman graphique sur les thèmes de l’enfance et l’exil s’intègre dans un projet avec un spectacle, une exposition et un dessin animé.
C’est l’histoire d’une rencontre entre une jeune fille de 12 ans, Amel et un déserteur et musicien, Bacem qui fuient leur pays en guerre en direction de l’Europe.
L’auteure traite un sujet contemporain sans repères spatio-temporels ni considération géopolitique ; les guerres en contexte de fond pourraient être toutes les guerres. Elle se concentre sur la dimension humaine du voyage de cette enfant.
Elle raconte l’exil des réfugiés sans pathos en choisissant la poésie comme langage (elle cite des vers de grands auteurs), en les comparant à des oiseaux migrateurs ; le vol des oiseaux servant de fil rouge au récit.
Nadia Nakhlé a opté pour une histoire dessinée dans des teintes sombres rehaussées de touches de couleurs, à mi-chemin entre livre illustré et BD, avec des pleines pages formant des tableaux somptueux, ornant les bords de pages de liserés, le tout sur un papier de qualité.