Traducteur brésilienne Túlio Borges adore sa muse, comme au temps de la délicatesse. «Je ne ai jamais voulu travailler avec la musique frottement de perdre le plaisir dans le jeu," il avoue, en primeur, à l'âge de 29 ans, avec sa belle, l'album aux multiples facettes Eu Venho vagando no ar [errant lentement dans l'air], qui est sorti après une longue et étroite relation avec l'art. Borges étudia le piano à l'école de musique de Brasília, a enregistré jingles, a pris part à un groupe de jazz et d'une chorale de l'école quand il a vécu aux États-Unis, où il a visité et a remporté des prix dans des festivals de musique. Même se il a écrit la musique depuis son enfance, seulement quand il avait 23 ans et vivant à Londres at-il commencé la compilation de son travail (il avait nigh 40 chansons), dont il enregistrerait une fois de retour au Brésil. Dans son pays natal, il a commencé à participer à des festivals. Parmi les autres prix, il a été nommé meilleur chanteur indépendante du Brésil de 2010, lorsque son premier album a été nommé l'un des 50 meilleurs albums de l'année que les pays.

Dans un des nombreux festivals auxquels il a participé, il a rencontré un chanteur de Rio de Janeiro appelé Vytória Rudan, avec qui il est devenu partenaires de scène. Dans l'album, elle participe à la fois dans le séduisant samba Paraty (Ela système algo Mais / coisa que nada no Mundo faz / trazer paz pra um coração [Elle a quelque chose de plus / quelque chose que rien dans le monde ne / elle apporte la paix à un coeur]), rempli de cuica, tamborim et acoustique guitare, et dans le fado / tango Zorro (Eu Quero Amar e você vou / mas tenho Que aprender quem sou / achar dentro de mim o carte [Je veux te aimer et je vais / Mais je ai à apprendre qui je suis / pour trouver en moi la carte]), où le duo vocal est effectuée avec une grande intensité.

Partage également les microphones avec Túlio vient Mme Inácia, qui l'a élevé et a travaillé pour sa famille depuis 35 ans. "Ce est elle que peut-être m'a le plus influencé," il analyse. "Elle était celui qui a apporté la maison de la musique noire, la musique populaire, la musique du Nord-Est, et les histoires,» dit-il. Elle ouvre l'album avec Túlio de Pontos, qui est une chanson qui est dans le domaine public; "Chansons que je ai attrapé son chant tout en travaillant, chansons qu'elle ne avait même pas qu'elle réalisés savaient par cœur, si douce et mélodieuse." Mme Inácia Maria da Conceição, né en Piauí, solos dans la dernière partie de la chanson. "L'idée était d'enregistrer les pièces avec accompagnement qui ajouteraient de la valeur pour eux, et que l'enregistrement était une grâce dans la vie pour le soutien que Mme Inácia me donne, aussi simplement que d'une étreinte et un baiser qui purifier l'âme, de sorte sincère et pur, ils sont ", définit le soliste.

Eu Venho vagando no ar (nom emprunté à l'un des titre de chansons) paris sur cette pureté amorcée par l'urbanité de talent Túlio. Comme dans la chanson ressemblant à un baião Trem [train], ouvert par une percussion émuler ce moyen de transport, et a un passage avec projetée vocale, versé comme dans un repente (o fogão dos meus desejos fala / é linda tão Québec un lindeza Estala [le poêle de mes désirs parle / elle est tellement belle que la beauté crépite]). De Túlio régionale saute à l'universel dans le Shirley jazzy, une profusion d'images sensuelles mis en évidence par la guitare de la chanteuse et en très Geni Castro. De cet état d'esprit, il saute aux moins impliquant Birosca, une samba avec cuica, cavaco, clarinette, guitares acoustiques, et le piano de Leandro Braga. Não pode essa princesa / da sandália e dos pés Lindos demais / da blusa Tomara Que caia / repare o tamanho da saia / eo Estrago Que ela faz [Cette princesse est trop / avec des sandales et les pieds trop jolie / avec un chemisier bustier / remarque la taille de sa jupe et / combien de dégâts est fait].

La samba, l'urbanité et le mysticisme sont les qualités brésiliennes typique dans Autel, douchés avec des images fluides (Tantos morros E pour um Redentor [Donc de nombreuses collines et un seul Rédempteur]), qui est aussi un duo avec Fred Martins, compositeur de Rio de Janeiro. Há muito choro em mim / por mil razões que eu sei / e Mais dez mil Que herdei [Il ya beaucoup cri en moi / mille pour une raison que je sais / et dix de plus que je ai hérité mille] Toca ajoute Amnesty International, une chanson éthérée voix douce de Túlio cousues ensemble par des guitares acoustiques de Rafael dos Anjos. Maintenant la chanson Sua, ouvert par les claviers du compositeur lui-même dans un dialogue avec les digressions de l'accordéon de Toninho Ferragutti, est parmi les la plupart des chansons à couper le souffle dans l'album. Le web des mots Cicatriz (Qué saudade me dói, devora / que Lembranças font outono outrora [Ils me manquent tellement ça fait mal, il me dévore / les souvenirs d'un manque à gagner de l'automne]), liés par le piano de Leandro Braga, souligne le la communion de la chanteuse / auteur-compositeur avec son art (comme Lembranças enramam raízes / por toda parte [les souvenirs embower racines / partout]). Le insinuante pleurer Ói - Morro de RIR, où de manière inattendue un cor français (Yuri Zuvanov) et une clarinette (Ademir junior) dialogue avec le pandeiro de Amoy Ribas (le même musicien qui a établi la percussion dans Pontos), prépare l'impact dévastateur de la chanson-titre , qui ferme le dossier. Préfacé par un fifre suspendu, les paroles brillent comme un joyau étincelant, un manifeste de cette artiste unique.

Je laisse le jeu brise

la cloche en moi dans le temps

le vent sait quand il est temps

et quand ce est le silence que je vois

Tarik de Souza, critique de musique