Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !
Les Eltychev, roman de la province russe, raconte la déchéance et la chute d’une famille ordinaire. Il est vrai qu’ils ne tombent pas de très haut... Le père, Nikolaï, est policier dans le chef-lieu de la province ; sa femme, Valentina, a péniblement réussi à s’extraire de son hameau perdu. Un de leurs fils est en prison, l’autre n’est qu’un bon à rien. À la suite d’une bavure, Nikolaï est radié de la police et doit rendre son appartement de fonction. La famille décide de partir s’installer dans le village où a grandi Valentina, à cinquante kilomètres de la ville. Dans une atmosphère minée par l’alcool, la pauvreté et l’absence de travail, les Eltychev passent l’hiver comme engourdis. Le printemps leur apportera quelques bribes d’espoir, vite envolées.
Roman Sentchine est né en 1971, dans la république de Touva. En 1993, sa famille s’installe dans la région de Krasnoïarsk, dans une situation très précaire. Sentchine termine des études à l’Institut de littérature en 2001 ; il est considéré comme l’un des représentants du nouveau réalisme russe. Ses romans, traduits dans de nombreuses langues, reçoivent un accueil enthousiaste du public russe, et ont été récompensés par de nombreux prix littéraires. Les Eltychev, le premier roman de Sentchine traduit en français (Noir sur Blanc, 2013), et La Zone d’inondation ont figuré sur la liste des plus grands prix russes (National Bestseller, Booker Prize russe, Bolchaïa Kniga).
Traduit du russe par Maud Mabillard
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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