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Avis de lecteurs

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Louis C. K.

 
Louis C. K.. Source: Wikipedia

Louis Camus de Moulignon,, né le à Châlons-sur-Marne et mort le à Witebsk (Biélorussie), est un général français de la Révolution et de l’Empire.

États de service

Il est fils de laboureur et de son épouse Anne Pavaut de la paroisse Saint-Jean. Il s’engage comme grenadier dans le régiment d'Aunis le , et il fait les campagnes de 1782 et 1783 sur les côtes de Brest, sous les ordres du général Langeron. Il devient caporal le , sergent le suivant, fourrier le , et sergent-major le .

Le , il passe sous-lieutenant quartier maitre et le , il reçoit ses épaulettes de lieutenant au régiment d’Aunis, avec lequel, il fait les campagnes de 1792 et 1793, à l’armée des côtes. Le , il reçoit son brevet de capitaine, et celui de chef de bataillon le au 8e bataillon de volontaires de la Manche.

Il est nommé chef de brigade le , et il est chargé de commander la 61e demi-brigade d’infanterie de ligne. Il fait sous les ordres des généraux Aubert-Dubayet et Hoche les guerres de l’an III et de l’an IV à l’armée de l’Ouest. Le , il est placé en qualité de surnuméraire dans la 76e demi-brigade d’infanterie de ligne, puis en tant que titulaire dans la 20e demi-brigade de ligne le , et dans la 53e demi-brigade le .

De l’an IV à l’an IX, il effectue sa carrière aux armées d'Angleterre, du Rhin et d'Helvétie. Il est blessé d’un coup de feu dans la poitrine le , au combat de Muttenthal. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le , et officier de l’ordre le .

Il est promu général de brigade le , et électeur du département de la Marne. Affecté à l’armée d'Italie, il rejoint l'armée de Naples en 1806, et il reçoit le commandement de Leucade (appelée Sainte-Maure à l'époque), dans les îles Ioniennes. Le , une division de vaisseaux anglais entre dans le port, et les troupes albanaises abandonnent les rangs français, ce qui oblige la garnison française à se retirer dans la forteresse. Attaqués dans leurs retranchements, ils se défendent avec une grande intrépidité, mais le feu meurtrier de l’ennemi et l’incendie d’un magasin de biscuit leur enlèvent bientôt tout moyen de résistance.

Obligé de capituler, il est fait prisonnier, et il est libéré sur parole le . Débarqué à Ancône le , il est convoqué à Paris par le ministre de la Guerre pour rendre compte de sa conduite. Accusé de s'être rendu avant d'avoir épuisé tous les moyens de résistance, il est innocenté après deux ans de procédure.

Il reprend du service le , comme commandant de la 3e brigade de la 12e division d’infanterie du 9e corps de la Grande Armée, et il participe à la campagne de Russie. Il est fait prisonnier le , à Borissov pendant la bataille de la Bérézina, et il meurt en captivité à Witebsk le .

Notes et références

Sources

  • (en) « Generals Who Served in the French Army during the Period 1789 - 1814: Eberle to Exelmans »
  • « Les généraux français et étrangers ayant servi dans la Grande Armée » (consulté le )
  • (pl) « Napoléon.org.pl »
  • « Cote LH/416/85 », base Léonore, ministère français de la Culture
  • A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion-d'honneur, biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, Tome 3, Bureau de l’administration, , 529 p. (lire en ligne), p. 51.
  • Léon Hennet, Etat militaire de France pour l’année 1793, Siège de la société, Paris, , p. 80.
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Source : Article Louis C. K. de Wikipédia

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