Le prix Goncourt 2017 Eric Vuillard fait la part belle dans "La Guerre des pauvres" à Thomas Müntzer surnommé plus tard "théologien de la révolution". C'est un récit littéraire érudit [...]
Une adaptation du roman de Zola en BD, fort bien menée, tant sur le plan graphique que narratif, et qui me donne maintenant envie de lire l'original !
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]
Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]
Robert Siodmak est un réalisateur, scénariste, producteur de cinéma et acteur allemand, né le à Memphis (Tennessee, États-Unis) et mort le à Locarno (Suisse).
Robert Siodmak est né dans une famille d'origine juive polonaise à Memphis (Tennessee, États-Unis) en 1900 (comme il le précise à Heiner Gautschy dans l'émission LINK, le ). Ses parents s'établissent en Allemagne lorsqu'il a 1 an. Il travaille en Allemagne comme metteur en scène et banquier avant de devenir scénariste pour le réalisateur Curtis Bernhardt en 1925. Quatre ans plus tard, il réalise son premier film muet, Les Hommes le dimanche, avec l'aide au scénario de son frère Curt et de deux débutants, célèbres par la suite, Billy Wilder et Fred Zinnemann. Il réalise en 1933 Fin de saison, d'après la nouvelle Brûlant Secret de Stefan Zweig, qui sera interdit après l'arrivée du national-socialisme au pouvoir.
L'arrivée au pouvoir du national-socialisme en 1933 pousse Robert Siodmak à l'exil. Il se rend tout d'abord à Paris, où il réalise plusieurs films dont La crise est finie (1934) et La Vie parisienne (1936), avant de s'envoler vers Hollywood.
En 1941, il réalise son premier film américain West Point Widow. Après, il signe un contrat avec les studios Universal pour sept ans. Ce contrat va lui permettre d'imposer son style, très influencé par l'expressionnisme allemand, puis par le cinéma d'Orson Welles (Citizen Kane constitue pour lui un modèle indépassable) et de signer quelques-uns des films noirs les plus marquants dont Les Tueurs en 1946.
Il travaille également au scénario de ce qui deviendra plus tard Sur les quais, avec Budd Schulberg. Malgré ses protestations, il ne sera pas crédité pour ce film contrairement à B. Schulberg.
Après avoir signé à Hollywood un dernier film, Le Corsaire rouge, avec son acteur fétiche Burt Lancaster, il retourne en 1951 en Allemagne où il réalise, entre autres films notables, La Nuit quand le diable venait.
Dans les années 1960, il se partage entre les États-Unis et l'Europe (l'Allemagne surtout), où il réalise des films dans des genres variés, allant de la comédie dramatique au western, en passant par le peplum.
La fin de sa carrière est faite d'une série de déceptions[Lesquelles ?].
Robert Siodmak meurt en Suisse en 1973, peu après son épouse.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Robert Siodmak de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00