Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Alain Jessua est un réalisateur, producteur, scénariste et romancier français, né le à Paris 16e et mort le à Évreux (Eure).
Alain Jessua est le fils de Saby Jessua, industriel, et de Lily Josipovici. Il débute dans le cinéma à l'âge de 19 ans comme stagiaire sur le film Casque d'Or (1952) de Jacques Becker. Il est l’assistant de Max Ophuls, Marcel Carné, Yves Allégret et Jacques Becker avant de réaliser son unique court-métrage, Léon la lune qui lui vaut le prestigieux prix Jean-Vigo en 1957.
Quelques années plus tard, en 1963, son premier long-métrage (devenu « culte » auprès des cinéphiles) est doublement primé, à Cannes et à Venise : La Vie à l’envers, avec Charles Denner et Jean Yanne, dont c'est le premier rôle au cinéma. Il enchaîne ensuite une série de longs-métrages qu’il produit lui-même (audace assez rare dans le paysage cinématographique français) : Jeu de massacre (Prix du meilleur scénario à Cannes en 1967), avec Michel Duchaussoy et Jean-Pierre Cassel ; Traitement de choc (1972), gros succès public, avec Alain Delon et Annie Girardot. Suivront : Armaguedon (1977), avec Alain Delon, Jean Yanne et Michel Duchaussoy ; Les Chiens (1979), avec Gérard Depardieu, Victor Lanoux, Nicole Calfan et Fanny Ardant ; Paradis pour tous (1982), avec Patrick Dewaere — son dernier rôle, il se suicide pendant le montage du film —, Jacques Dutronc et Fanny Cottençon, Frankenstein 90 (1984), avec Eddy Mitchell et Jean Rochefort ; En toute innocence (1988), avec Michel Serrault et Nathalie Baye ; enfin, Les couleurs du diable (1997), avec Ruggero Raimondi, Wadeck Stanczak et Isabelle Pasco…
Alain Jessua fait régulièrement l’objet d'hommages en France et à l'étranger. Son court-métrage Léon la lune a ainsi été projeté au MOMA (Museum Of Modern Art) de New York il y a quelques années[Quand ?] et Martin Scorsese a cité La Vie à l’envers comme un des films qui l’ont vraiment marqué[réf. souhaitée]. De ce cinéaste souvent visionnaire, Jean Tulard, dans son Dictionnaire du Cinéma, écrit : « Il tourne peu mais bien. Il propose un cinéma où il aborde les problèmes de notre temps et lance des cris d’alarme ».
Alain Jessua est aussi l'auteur de huit romans, publiés notamment aux éditions Léo Scheer et chez JC Lattès.
Il se marie le 26 octobre 1961 avec Anna Gaylor, actrice, avec laquelle il a un fils : Frédéric. Divorcé en 1989, la journaliste Régine Magné a été sa compagne durant les trente dernières années de sa vie.
Une rétrospective lui est consacrée à la Cinémathèque française en 2017.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0
Source : Article Alain Jessua de WikipédiaContributeurs : voir la liste
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00