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Avis de lecteurs

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

La goûteuse d'Hitler (Rosella Postorino)

note: 5Quand chaque bouchée peut être la dernière Marie, MMC - 11 mai 2019

1943. Rosa a quitté Berlin pour rejoindre la ferme de ses beaux-parents. Ils attendront ensemble le retour de son mari parti au front. Arrivée depuis peu elle est recrutée pour devenir goûteuse. Hitler reclus dans son quartier général en Prusse orientale, a peur de l’assassinat. Quatre fois par jour, Rosa et les autres goûteuses se régalent de mets délicieux risquant d’être à chaque fois leur dernier repas. Tout n’est que paradoxe dans cette vie qu'elle subit : allemande, on la traite comme un chien, dans l’inquiétude de l’attente, son corps ose aimer.
C’est un très beau roman dans lequel l’humain est au premier plan. Il est parfois si simple de juger et pourtant la réalité et surtout l’horreur peuvent peser très lourd dans nos choix.