le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
Jeune paysan dans la Loire, Jules Maltrat est mobilisé en 1914, incrédule devant cette guerre que sa faible éducation et son milieu familial fruste ne lui ont pas permis de deviner. Il part vers l’inconnu, laissant à regret sa fiancée et ses parents derrière lui. Mais au fil des ans, il se sent plus proche d’un camarade de combat, premier véritable ami, que des siens qui ne peuvent imaginer ce qu’est devenu son quotidien. Chaque permission est plus difficile. Et quand la guerre se termine, que Jules revient dans son univers d’avant-guerre, tout lui devient insupportable et le rend cruel avec ceux qui l’aiment.
Charles Exbrayat est connu pour ses romans policiers (plus de cent publiés au Masque), beaucoup moins pour ce premier et beau roman sorti en 1942 qui dresse un sensible portrait d’un homme simple, dépassé par sa souffrance, démuni pour l’exprimer.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00