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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Critique

 

Les jardins de Zagarand (Eric de Kermel)

note: 5Telle la poésie de la vie Gabin - 7 juin 2021

Paul est un père qui n’est plus depuis que le destin lui a arraché son fils. Anéanti, enseveli par la souffrance, il décide de partir rejoindre sa sœur, Mathilde, à Zagarand. Un oasis d’humanité oublié aux confins de l’Afrique subsaharienne.
Plus que le roman d’une reconstruction, Éric de Kermel nous initie au fil des pages à une philosophie. Celle de vivre. Debout. Et non courbé par le poids de l’adversité.
Sur les bords de l’Izir se cultivent d’incroyables jardins où germe la sagesse. Il s’y élève également de modestes maisons qui font de chaque mot la plus grande richesse du monde.
À Zagarand, la sensibilité n’est pas une tare. Elle est une vertu, un pas majeur vers la maturité et la responsabilité.
À Zagarand, l’osmose régnant entre l’Homme et la Nature insuffle, inspire une confiance nouvelle envers chaque être qui vit.
À Zagarand, chaque sentiment est une vibration qui fait palpiter l’âme. C’est un feu qui danse en chacun, qui embrase le cœur d’amour, qui illumine l’esprit de discernement.
Aux côtés d’Élias, Mayssa, Maalik ou encore d’Aimane, la femme médecine, venez découvrir comment la beauté prend son essence dans la simplicité.
La délicieuse poésie de l’auteur de La Libraire de la place aux Herbes et d’Orphelins de l’aurore vous transportera encore une fois au sein d’un univers merveilleux, fondement d’une nouvelle manière d’habiter la Terre.