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Avis de lecteurs

Le rapport de Brodeck n° 1
L'autre (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Critique

 

L'eau qui dort (Hélène Gestern)

note: 5Une pépite de plus pour Hélène Gestern Marie, MMC - 14 décembre 2019

Benoît Lauzanne est commercial, une vie tracée qu’il passe sur les routes et dans les hôtels. Des absences qui limitent aussi les moments qu’il doit passer chez lui aux côtés de sa femme dont l’incapacité à être heureuse a fini par être contagieuse. Le jour où il croit reconnaître dans un bar de gare son grand amour de jeunesse, tout bascule.
Il ne retournera pas travailler et ne rentrera pas avant de la revoir, avant d’être certain qu’il s’agit bien d’elle. Mais la vie réserve des surprises. Avec cette poésie dans l’écriture qui est la marque d’Hélène Gestern, ce roman questionne : « Pourquoi choisit-on un jour de déserter sa propre vie et comment les autres compensent-ils cette absence ? ».